Vie du cabinet
Le 11/05/2017
A la une
La satisfaction client : un outil au service du développement du cabinet comptable (1°)
Sonder la satisfaction des clients du cabinet permet de corriger les erreurs, de qualifier les besoins des interlocuteurs, de valider la pertinence de nouvelles missions ou encore de pousser la recommandation. Premier volet sur la manière de mener une enquête.
Le 09/05/2017
A la une
Mobilité des salariés de cabinets comptables : un levier à manier avec doigté
Qu’elle soit sollicitée par le salarié ou impulsée par le cabinet, la mobilité d’un collaborateur nécessite une préparation et un suivi particuliers. Retours d’expérience.
Le 05/05/2017
Paroles de
"Il faut réaffirmer notre indépendance"
Chaque semaine, retrouvez notre interview sur une question d'actualité. Pour Stéphane Benayoun, les deux piliers de l'expert-comptable sont en danger. Selon lui, l'indépendance recule, notamment du fait d'activités de plus en plus administratives, et le secret professionnel est malmené.
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Le 04/05/2017
A la une
Le top 100 des cabinets comptables perd en productivité
Malgré une croissance dynamique de leur activité, les plus grandes structures comptables exerçant en France voient leur productivité par employé diminuer de 2 %.
Le 04/05/2017
A la une
Espace de coworking : pourquoi les experts-comptables se lancent
De nombreuses raisons (louer une partie de ses bureaux, compléter l’offre de services…) peuvent conduire les experts-comptables à créer des espaces de travail partagés. Le point sur un concept en vogue mais pas forcément juteux.
Le 02/05/2017
Chronique
Et si vous sondiez vos salariés sur leur bien-être au travail ?
Pour fidéliser les collaborateurs de cabinets comptables, Thierry Denjean suggère de mettre en place un questionnaire de satisfaction. Dans cette chronique (*), il expose les enjeux et les modalités pratiques de cette solution.
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Le 28/04/2017
A la une
Ces nouvelles SAS qui peuvent se passer d'un commissaire aux apports
A partir d'aujourd'hui, les SAS en constitution peuvent, lorsque leurs apports en nature ne dépassent pas 30 000 euros, ne pas recourir à un évaluateur externe. Un décret vient de préciser le montant de cette disposition issue de la loi Sapin 2.