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Un salarié peut-il faire du covoiturage payant avec son véhicule de fonction ?

Un salarié qui véhicule des personnes étrangères à l'entreprise pendant ses heures de travail et avec son véhicule de fonction en utilisant la platefome collaborative Blablacar commet-il une faute ? Non, répond le conseil de prud'hommes de Nantes, mais avec une motivation très circonstanciée.

La question est inédite mais risque de se poser de plus en plus souvent avec le développement de l'économie collaborative. Un salarié peut-il utiliser son véhicule de fonction pour faire du covoiturage lors de ses déplacements professionnels et avec son véhicule de fonction ?

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Informations sociales et environnementales incombant aux grandes SA

La loi travail complète la liste des informations sociales devant figurer dans le rapport de gestion des grandes SA. Par ailleurs, un décret précise les nouvelles données environnementales à mentionner dans ce rapport.

Toute société anonyme (ou société en commandite par actions) cotée sur un marché réglementé ou de taille significative (total de bilan ou chiffre d'affaires net supérieur à 100 millions d'euros et nombre de salariés supérieur à 500) est tenue de faire figurer dans son rapport de gestion certaines informations sociales et environnementales (C. com., art. L. 225-102-1, al. 5).

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Rappels de salaire et attestation Pôle emploi : que risque l’employeur ?

En cas de versement d'un rappel de salaire après la rupture du contrat de travail, l’employeur peut-il craindre d’être condamné à verser une réparation à son ancien salarié pour non-délivrance d’une attestation Pôle emploi complémentaire ?

Lorsque la rémunération du salarié est constituée en tout ou partie par des commissions, l’employeur est conduit à verser des rappels de salaires après la rupture du contrat de travail. Au bulletin de paie complémentaire, dont la délivrance constitue clairement une obligation sanctionnée si besoin, doit-il y joindre une attestation Pôle emploi complémentaire ?

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Réformes sociales : les décrets qui se font toujours attendre

L'entrée en vigueur des réformes est souvent suspendue à la publication de décrets. Les trois dernières réformes sociales prévoient ainsi un certain nombre de textes d'application. Si les décrets des lois Macron et Rebsamen ont quasiment tous été rédigés, le ministère doit désormais s'atteler à la publication des nombreux décrets de la loi Travail attendus.

Le gouvernement a dressé la semaine dernière, lors de son Conseil des ministres de rentrée, un bilan des lois Macron du 6 août 2015 et Rebsamen du 17 août 2015 sur le dialogue social. L'occasion de revenir sur les derniers décrets toujours en attente. Si le gouvernement se félicite que la plupart des décrets soient désormais publiés, certains ont néanmoins été attendus longtemps. C'est le cas des décrets sur la nouvelle DUP et la DUP conventionnelle qui n'ont été publiés qu'en mars.

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Projet de loi Travail : de nouveaux outils contre le détachement illégal

Le texte renforce le cadre légal du détachement des travailleurs afin de lutter contre les abus. Les maîtres d'ouvrage et donneurs d'ordre devront s'assurer de la déclaration préalable des salariés détachés par leurs sous-traitants, sous peine d'amende et de suspension de la prestation. Les entreprises qui détachent des salariés en France devront verser une contribution.

Ces deux dernières années, les textes visant à endiguer le dumping social auquel peut donner lieu le travail détaché se sont accumulés :

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Projet de loi Travail : ce qui change pour les congés

La législation consacrée aux congés est l'autre partie du code du travail totalement réécrite par le projet de loi Travail définitivement adopté. Et comme pour la durée du travail, la primeur est donnée à l'accord d'entreprise.

Comme pour la durée du travail, le projet de loi réécrit toute la partie du code consacrée aux congés et distingue les dispositions d'ordre public, le champ de la négociation collective et les dispositions supplétives qui s'appliquent à défaut d'accord.

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Projet de loi Travail : les mesures sur la médecine du travail

Le projet de loi Travail complète la réforme de la médecine du travail, entamée l'été dernier. Il harmonise l'obligation de reclassement que l'inaptitude soit d'origine professionnelle ou non professionnelle. Il modifie également la visite médicale d'embauche qui devient une visite d'information et de prévention. Ces dispositions s'appliqueront au plus tard le 1er janvier 2017.
Inaptitude
Procédure identique de reclassement que l'inaptitude soit professionnelle ou non

Les deux procédures de reclassement, que l'inaptitude soit professionnelle ou non, qui diffèrent aujourd'hui, sont harmonisées (articles L. 1226-2 et L. 1226-10 du code du travail modifiés) :

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Le projet de loi Travail redéfinit le licenciement pour motif économique

Le projet de loi Travail, définitivement adopté le 21 juillet, réécrit la définition du licenciement pour motif économique. Elle fixe dans la loi les motifs de sauvegarde de compétitivité et de cessation d'activité. Et elle précise les indicateurs dont l'évolution significative est de nature à justifier des licenciements, la durée de cette évolution dépendant de l'effectif de l'entreprise.

L'article 30 aura fait couler beaucoup d'encre, suscité de nombreux débats et interprétations, et aura connu des versions différentes au fil de l'examen parlementaire. L'article sur les licenciements économiques devient, dans la version définitive du texte, l'article 67

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Projet de loi Travail : la refonte de la négociation d'entreprise

Conférer aux partenaires sociaux une plus grande autonomie pour définir les règles les plus adaptées à l'entreprise. C'est l'un des principaux objets du projet de loi Travail. À cette fin, tous les pans du droit de la négociation collective sont revus en profondeur. La notion d'avantages individuels acquis disparaît.

Le projet de loi Travail a été adopté définitivement le 21 juillet par le Parlement. Sous réserve d'une éventuelle censure du Conseil constitutionnel, saisi le même jour par les sénateurs Les Républicains, voici les changements décidés par le législateur en vue de renforcer la légitimité et l'efficacité de la négociation collective d'entreprise.

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Projet de loi Travail : les mesures sur la durée du travail

Le projet de loi travail étant définitivement adopté, nous vous proposons une série d'articles détaillant les changements opérés par ce texte. Premier volet : la durée du travail. En la matière, le texte consacre la primauté de l'accord d'entreprise sur l'accord de branche.

Son parcours politique et parlementaire a été mouvementé avec trois recours à l'article 49-3, sans compter une dizaine de manifestations syndicales réclamant son retrait. Mais cette fois, ça y est : le projet de loi Travail a été adopté définitivement par l'Assemblée nationale, sans débat puisque le gouvernement, qui ne s'est pas vu opposer cette fois de motion de censure, a engagé mercredi 20 juillet sa responsabilité sur le texte. La loi ne sera promulguée qu'à l'issue de son examen par le Conseil constitutionnel, saisi hier par 102 sénateurs Les Républicains.