Social

Le 04/11/2024
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Sans réponse de l’employeur, le congé sabbatique, même demandé trop tard, est forcément accepté

Si le salarié ne respecte pas les délais prévus par le Code du travail pour demander son départ en congé sabbatique, l’employeur peut différer la date de ce départ. Mais il doit quand même répondre au salarié dans le délai de 30 jours à compter de la présentation de la demande : à défaut, son accord est réputé acquis.

Le 30/10/2024
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"Le rôle des managers est devenu plus difficile à exercer"

Être manager c’est faire le deuil de son expertise, assure Isabelle Barth, professeure des universités et chercheuse en sciences du management à l'Université de Strasbourg. Ils doivent aujourd’hui développer de nouvelles compétences pour tenir compte des aspirations des salariés mais aussi des nouveaux modes de travail. Interview.

Le 29/10/2024
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DSN de substitution : net-entreprises fixe le calendrier de déploiement

Dans un communiqué du 24 octobre 2024, net-entreprises précise les modalités de déploiement du processus de fiabilisation des DSN, en instaurant des CRM de rappel. La substitution de DSN constitue, selon ce process, un dernier recours.

Le 28/10/2024
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La violation du secret professionnel justifie un licenciement pour faute grave

Dans deux arrêts du 11 septembre 2024, la Cour de cassation rappelle l’importance du respect du secret professionnel par les salariés, quels que soient leur passé disciplinaire et leur ancienneté dans l’entreprise. La violation de ce secret par le salarié d’une caisse d’assurance maladie peut justifier son licenciement pour faute grave.

Le 25/10/2024
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PLFSS 2025 : en commission, les députés refusent de réformer les allègements de cotisations patronales

Le projet du gouvernement de diminuer globalement les allègements de charges sociales patronales se heurte à l'opposition de députés. La commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale a supprimé ce dispositif qui figure dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025.

Le 24/10/2024
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Une crise sanitaire n’est pas un cas de force majeure lorsque l’activité partielle est mise en place

Dans un arrêt rendu le 18 septembre 2024, la Cour de cassation estime que la force majeure ne permet pas de justifier la rupture anticipée d’un contrat à durée déterminée, dès lors que la mise en place de l’activité partielle ne rendait pas irrésistible la crise sanitaire.