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Pas "d'inflation" du coût du prélèvement à la source de la part des experts-comptables, selon Bercy

Hier, Gérald Darmanin a dressé le premier bilan mensuel du prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, en vigueur depuis le 1er janvier. Une évaluation de la réforme sera rendue publique après le premier trimestre.

"Le rush n'a pas eu lieu". Lundi, Gérald Darmanin s'est félicité du premier mois de lancement du prélèvement à la source (PAS) de l'impôt sur le revenu. Le ministre de l'action et des comptes publics a notamment souligné "le travail très important" accompli par les experts-comptables et les éditeurs de logiciels dans la préfiguration des bulletins de salaires.

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De nouvelles précisions sur l'examen périodique de sincérité

L'administration fiscale explicite la méthode de sélection des adhérents ou clients, le calcul du chiffre d'affaires pour fixer le nombre de pièces justificatives à contrôler, ainsi que les modalités du contrôle qualité de l'administration.

Le controversé examen périodique de sincérité (EPS) vient de fêter ses 3 ans. Et de nouvelles précisions sont apportées sur cette mission que doivent réaliser les organismes de gestion agréés (OGA) et les experts-comptables qui délivrent le visa fiscal, pour les exercices clôturés à compter du 31 décembre 2016.

A la une (brève)

Barème 2019 de la taxe sur les salaires

La taxe sur les salaires due au titre des revenus d'activité annuels à compter du 1er janvier 2019 s'élève à 4,25 % pour

A la une (brève)

Déduction 2019 des frais supplémentaires de repas pour les BIC/BNC

Le plafond déductible en 2019 des frais supplémentaires de repas exposés par les BIC et les BNC vient d'être publié au Bofip. Il est égal à 13,95 euros, c'est à dire à la différence entre 18,80 euros toutes taxes comprises — limite d'exonération des indemnités pour frais de repas évaluée forfaitairement — et 4,85 euros toutes taxes comprises — valeur du repas pris au domicile évaluée forfaitairement.

A la une

La définition de l'acte anormal de gestion élargie

L'acte anormal de gestion n'est pas caractérisé lorsqu'une entreprise a dû céder un de ses biens à un prix inférieur à sa valeur vénale en raison de son illiquidité.

Selon une jurisprudence constante du Conseil d’État, issue de la lecture combinée des articles 38 et 209 du code général des impôts, le bénéfice imposable à l’impôt sur les sociétés est celui qui provient des opérations de toute nature faites par l’entreprise, à l’exception de celles qui, en raison de leur objet ou de leurs modalités, sont étrangères à une gestion normale (CE, 4 juin 2012, n° 350003 ; CE, 20 déc. 2011, n° 313435).

A la une

Prélèvement à la source de l’IR : 2019, une année "un peu particulière"

Cette année "blanche" pour les revenus 2018 nécessite d'identifier les revenus exceptionnels dans la déclaration à établir au printemps, et verra l'application du crédit d'impôt de modernisation du recouvrement, comme l'a rappelé une conférence du cabinet GMBA.

Depuis le début de l’année, les entreprises sont sur le pied de guerre pour mettre en place le prélèvement à la source (PAS) de l’impôt sur le revenu. Pour la première fois en janvier, la retenue est déduite automatiquement sur les bulletins de paie. Puis chaque mois, le collecteur calculera et prélèvera le PAS sur le salaire net imposable, déclarera les prélèvements à la source pour chaque salarié, et les reversera à la DGFiP.

A la une (brève)

Réformes de l'imposition des bénéfices : Bercy consulte

En matière d'imposition des bénéfices des entreprises, plusieurs réformes viennent de voir le jour via la loi de finances pour 2019 : la limitation de la déductibilité des intérêts d'emprunt, le régime de groupe, le régime fiscal applicable aux brevets, les zones franches d'activité. Bercy organise une consultation publique sur ces sujets.

A la une

Pourquoi l’IS rapporte peu en France malgré un taux légal élevé

Le faible rendement de l’impôt sur les bénéfices des sociétés en France tient probablement d’abord à la mauvaise rentabilité économique des entreprises. Leur taux de marge reste plus faible que celui de leurs concurrentes européennes.

En 2016, l’IS ne représentait en France que 2 % du produit intérieur brut (PIB). Ce rendement peut être qualifié de faible dans la mesure où il est éloigné de la moyenne qui s’élève à 2,8 % dans la zone OCDE alors que le taux légal de cet impôt dans l'Hexagone était cette même année le second le plus élevé de la zone OCDE — et depuis, c'est le taux le plus fort. A quoi tient ce paradoxe ?

A la une (brève)

La nouvelle définition de l'abus de droit fiscal ne vise pas les démembrements de propriété

La loi de finances pour 2019 a créé une nouvelle procédure d'abus de droit visant les opérations ayant un motif principalement fiscal. Jusqu'à présent, l'abus de droit ne concernait que les opérations à but exclusivement fiscal. Cette nouvelle définition a soulevé des interrogations pour les démembrements de propriété.

A la une

Impôt sur les sociétés : le paradoxe français

La France présente le taux légal d'impôt sur les bénéfices des sociétés le plus élevé des pays de la zone OCDE. Pourtant, le rendement de cet impôt est nettement inférieur à la moyenne de cette zone.

En 2018, la France détenait la palme d'or du taux légal d'impôt sur les bénéfices des sociétés le plus élevé des pays de l'OCDE. C'est ce que montre une étude que vient de publier l'organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).