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A la une (brève)

Pour la Cour des comptes, la réforme du Pas est "globalement réussie"

Dans un rapport publié hier, la Cour des comptes souligne la qualité de la mise en oeuvre opérationnelle du prélèvement à la source (Pas), le taux d'approbation élevé dont bénéficie cette réforme dans la population française, et son rapport coût-rendement favorable.

A la une

Prêt intragroupe : les principes sur les modalités d’appréciation du taux du marché sont complétés

Le Conseil d’État a récemment apporté de nouvelles précisions sur les éléments de preuve que peut produire une société pour justifier de la conformité au taux du marché du taux d’intérêt d’un prêt intragroupe. L’occasion de compléter la jurisprudence sur le dispositif de limitation de la déduction des intérêts entre sociétés liées.

Lorsque le taux d’intérêt pratiqué au titre d’un prêt intragroupe excède le taux de référence fixé à l’article 39, 1-3° du CGI, les entreprises soumises à l’impôt sur les sociétés peuvent déduire les intérêts servis à des entreprises liées à hauteur du taux du marché (taux qu’elles auraient pu obtenir d’établissements ou d’organismes financiers dans des conditions analogues). La problématique pour les entreprises réside alors dans la démonstration de la conformité du taux d’intérêt pratiqué au taux du marché.

A la une

Pacte Dutreil-transmission : les commentaires sont publiés

A la suite de la consultation publique réalisée du 6 avril au 6 juin 2021, l'administration vient de publier ses commentaires définitifs sur le régime Dutreil-transmission tel qu'il résulte de la loi de finances pour 2019.

Dans le cadre d’une mise à jour Bofip en date du 6 avril 2021, l’administration avait mis en consultation publique l’ensemble de ses commentaires sur le dispositif du pacte Dutreil tel qu’il résulte, notamment, de la loi de finances pour 2019. Les commentaires définitifs viennent d’être publiés dans une mise à jour du 21 décembre 2021.

Nous faisons état brièvement ci-après des principales précisions apportées par l’administration.

A la une (brève)

Plafonds 2022 d'exonération de CFE dans les zones urbaines en difficulté

Le plafond d'exonération de CFE applicable aux créations ou extensions d'établissements réalisées dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) est fixé à 29 796 euros de base nette imposable (au lieu de 29 886 euros en 2021), indique l'administration fiscale.

La limite s'élève à 80 375 euros (au lieu de 80 617 euros) dans les zones franches urbaines-territoires entrepreneurs (ZFU-TE).

A la une

Loi de finances 2022 : de nouveaux ajustements apportés aux contributions à la formation professionnelle et à l'apprentissage

Plusieurs mesures correctives ou transitoires sont adoptées pour finaliser le transfert au 1er janvier 2022 du recouvrement des taxes relatives au financement de la formation et de l'apprentissage.

Plusieurs mesures correctives ou transitoires sont adoptées pour finaliser le transfert au 1er janvier 2022 du recouvrement de la contribution à la formation professionnelle (CFP), de la taxe d’apprentissage, de la contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) et de la contribution dédiée au financement du compte personnel de formation pour les titulaires d’un contrat à durée déterminée (CPF-CDD) aux organismes de sécurité sociale, dont les modalités ont été fixées par l’ordonnance n° 2021-797 du 23 juin 2021.

A la une

Loi de finances 2022 : le report en arrière des déficits est aménagé

Le bénéfice servant de base d'imputation pour le report en arrière des déficits est réduit.

L’article 15 de la loi de finances pour 2022 exclut expressément du bénéfice d’imputation d’un déficit constaté au titre des exercices clos à compter du 31 décembre 2021 reporté en arrière la fraction de ce bénéfice qui est à l’origine d’un montant d’impôt sur les sociétés acquitté au moyen d’une réduction d’impôt.

A la une

Contrôle fiscal : ce que change la loi de finances pour 2022

Sanction pour défaut de facturation, amende en cas d’obstacle à l’accès aux documents informatiques, interdictions en cas de dissimulation d'avoirs à l'étranger… La loi de finances pour 2022 modifie plusieurs sujets relatifs au contrôle fiscal.
Structures établies dans un pays à fiscalité privilégiée : présomption de détention par le constituant du trust (article 133)

La détention d'une participation d'au moins 10 % dans une entité dont le patrimoine est principalement composé d'actifs financiers et monétaires et soumise hors de France à un régime fiscal privilégié entraîne l'imposition des bénéfices et revenus de cette entité en tant que revenus mobiliers entre les mains du détenteur personne physique domicilié en France (CGI art. 123 bis).  

A la une (brève)

Bientôt un site unique pour les démarches fiscales, sociales et douanières des professionnels ?

Le gouvernement prévoit la disponiblité, mi-février 2022, d'un site unique qui "permettra de simplifier et unifier les démarches de déclaration et de paiement des professionnels. Ces derniers pourront accéder, au sein d’un seul et même espace, aux services proposés à la fois par les impôts, les Urssaf et la Douane", avance-t-il.

A la une

Loi de finances 2022 : mesures relatives à la transmission d'entreprise

Les dispositifs d'exonération des plus-values de cession d'entreprises sont aménagés. Les nouveautés portent notamment sur le plafond d'exonération qui est rehaussé (article 238 quindecies du CGI) et l'allongement temporaire du délai de cession de l'entreprise après le départ à la retraite de son propriétaire (article 151 septies A du CGI).

L’article 19 de la loi de finances pour 2022 aménage les dispositifs d’exonération des plus-values professionnelles dégagées à l’occasion d’un départ à la retraite (CGI, art. 151 septies A) ou de la transmission d’une entreprise individuelle (CGI, art. 238 quindecies) en reprenant et en complétant, le cas échéant, les mesures annoncées dans le plan en faveur des indépendants présenté le 16 septembre 2021.

A la une

Précisions sur les nouvelles activités des OGA

L'administration fiscale donne des exemples de prestations de formation et d'information, de mesures d'accompagnement des micro-entreprises et d'audits techniques que peuvent désormais fournir les organismes de gestion agréés (OGA).

Les organismes de gestion agréés (OGA) ont vu leur champ d'intervention s'élargir avec un décret du 7 octobre 2021. Ils peuvent désormais fournir à toute entreprise (y compris non adhérente) exerçant dans les domaines de l'industrie, du commerce, de l'artisanat et de l'agriculture un certain nombre de services d'assistance en matière de gestion.