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A la une

Pas de (plus grande) reconnaissance comptable en vue pour le capital immatériel

Le capital immatériel semble occuper une place grandissante dans la création de valeur des entreprises. Le normalisateur comptable dit international travaille sur une évolution du rapport de gestion mais ne prévoit pas de changement dans la prise en compte de cette ressource au bilan.

"Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément". Cette citation célèbre d’Albert Einstein est particulièrement d’actualité. D’une certaine façon, elle s’illustre dans le fossé grandissant qui sépare la comptabilité de l’information extra-financière. Notamment en matière de capital immatériel. "Accor a décidé de vendre tous ses actifs, tous ses hôtels et de se centrer sur la data et les services autour de la data", prétend Florian Bercault, de la société Estiméo, une plate-forme de notation des startups.

A la une

Tracfin veut sortir les associations du brouillard comptable

La cellule de lutte contre le blanchiment d’argent veut créer une sorte de RCS (registre du commerce et des sociétés) des associations. Elle souhaite aussi imposer à celles faisant appel à la générosité publique de publier leurs comptes annuels et faire auditer toutes celles qui reçoivent une subvention publique quel que soit le montant.

"L’examen du secteur associatif, sous l’angle financier, conduit à établir le manque de transparence générale des règles applicables aux associations en termes d’organisation, de publicité et de relations financières, souligne un nouveau rapport de Tracfin.

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Tracfin veut renforcer les obligations comptables des associations

Ce service de renseignement de Bercy considère que "l'examen du secteur associatif, sous l'angle financier, conduit à établir le manque de transparence générale des règles applicables aux associations en termes d'organisation, de publicité et de relations financières".

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Une étude évalue à 32 000 euros le budget annuel des PME pour leurs logiciels comptables

Les PME consacreraient 32 480 € par an pour des logiciels de comptabilité, d'après un sondage mené auprès de 270 employés de PME impliqués dans les décisions d'achats de logiciels pour le compte de leur entreprise. Le logiciel de comptabilité fait partie des 5 technologies dans lesquelles les entreprises investissent le plus, avec le cloud computing (ou informatique dématérialisée), la sécurité des données et informations, les logiciels de CRM et de marketing digital, est-il précisé.

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L'IASB propose de décaler l'entrée en vigueur d'IFRS 17

Le normalisateur comptable international, l'IASB (international accouting standards board), a voté en faveur d'un décalage d'un an de l'entrée en vigueur de la norme IFRS 17 sur les contrats d'assurance — son démarrage serait ainsi reporté à 2022.

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La phrase de la semaine

"Le vrai régulateur de la comptabilité n'est plus l'ANC [autorité des normes comptables] mais l'AMF [autorité des marchés financiers]", considère Jérôme Dumont, commissaire aux comptes.

Chronique

Comptes annuels : trop de laxisme législatif nuit aux entreprises !

Le cadre juridique favorise le développement de l'opacité comptable des TPE et des PME. Thierry Denjean porte un regard critique sur cette situation. (*)

En dépit des idées reçues, le manque de clarté des comptes financiers n’est pas l’apanage des grands groupes. Bien au contraire : il y a fort longtemps que les grandes entreprises sont rôdées à certaines exigences en matière de communication financière. Et les récentes évolutions législatives, notamment la loi Sapin 2 publiée en décembre 2016, n’ont fait que renforcer leurs obligations de transparence. En revanche, ces dernières années, un arsenal de mesures ou de «non-mesures» est venu polluer la transparence financière des entreprises de moindre taille.

A la une

Une marque dont la création est sous-traitée ne peut pas être inscrite à l'actif

Le fait qu’une entreprise confie à une agence de communication le travail d'élaboration de sa nouvelle marque lui donne-t-elle la possibilité d'enregistrer cette dépense à l’actif ? Non, répond la commission des études comptables de la CNCC.

Sous-traiter la création d'une nouvelle marque ne produit pas les mêmes effets dans les comptes annuels que d’acheter une marque existante. C’est ce qui ressort d’une chronique de la commission des études comptables de la CNCC (EC 2018-31). Pour elle, les dépenses d'élaboration d’une marque doivent être enregistrées en charges que le travail sous-jacent soit internalisé ou externalisé. Leur inscription au bilan n’est possible qu’en cas d’acquisition (d'une marque existante).

Agenda

Etats généraux de la recherche comptable

L'Autorité des normes comptables organise le lundi 10 décembre 2018 la 8ème édition des Etats généraux de la recherche comptable sur le thème "Comptabilité et information extra-financière".

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A la une (brève)

Vers un cadre comptable clarifié pour les partis politiques ?

Le règlement de l'Autorité des normes comptables (ANC) relatif aux comptes d'ensemble des partis ou groupements politiques est en cours d'homologation.