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Le gouvernement veut étoffer les sanctions encourues par les conseillers complices de fraude fiscale

L’exécutif considère que les avocats, les experts-comptables et autres intermédiaires fiscaux sont difficiles voire impossibles à poursuivre en tant que complices de fraude. Un projet de loi prévoit un mécanisme pour les sanctionner par une amende fiscale d'au moins 10 000 euros.

C’est une réponse aux scandales tels que celui des Panama papers. Le gouvernement veut décourager les intermédiaires qui conseillent des montages fiscaux frauduleux. Le projet de loi relatif à la lutte contre la fraude, qui vient d’être publié, prévoit que ces personnes encourent, en tant que complices de l’infraction, une amende de 10 000 euros au minimum.

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Que devient le projet d’assiette commune consolidée pour l’impôt sur les sociétés ?

La Commission européenne veut intégrer la présence numérique des sociétés dans la détermination de leur impôt sur les bénéfices. Cette orientation, largement soutenue par le Parlement européen, était pourtant exclue fin 2016 au moment de relancer le projet d’assiette commune consolidée pour l’impôt sur les sociétés (Accis).

Le projet d’Accis est-il toujours à l'agenda ou marginalisé ? La question se pose de plus en plus. La semaine dernière, la Commission européenne a proposé — via une nouvelle directive autonome — de prendre en compte la présence numérique de certaines sociétés dans la détermination de leur impôt sur les bénéfices. Précisément, l’exécutif européen considère que les Etats membres devraient pouvoir taxer les bénéfices des sociétés là où ils sont créés.

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Un projet de loi contre la fraude

Gérald Darmanin, ministre de l'action et des comptes publics, a dévoilé les grandes lignes du projet de loi contre la fraude.

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Davantage de déclarations de soupçon adressées à Tracfin

Tracfin, la cellule française de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme, a reçu 68 661 déclarations de soupçon en 2017, soit une augmentation de 10 % par rapport à l'année précédente. Le détail par profession assujettie n'a pas été communiqué.

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... et la CPME aussi

"La CPME maintient son hostilité au rôle de percepteur d’impôt que les pouvoirs publics entendent faire jouer aux chefs d’entreprise. A mesure que l’échéance s’approche il est évident que les entreprises ne sont pas prêtes", martèle la confédération.

 

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L'Unapl reste opposée au prélèvement à la source collecté par les entreprises...

"L’Unapl rappelle qu’elle est favorable au fait de rendre contemporains les revenus et l’imposition sur le revenu (IR). En revanche, l’Unapl estime que la collecte de l’IR par les entreprises, en particulier les plus petites d’entre elles, est une source de complication inutile", manifeste cette organisation professionnelle.

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Fiscalité du numérique : un calmant pour l'Europe

La Commission européenne veut créer une taxe de 3 % sur le chiffre d’affaires des géants du numérique. Il s'agit d'une solution intérimaire en attendant une concertation mondiale qui tienne compte de la présence numérique des sociétés pour déterminer le lieu d'imposition de leurs bénéfices.

Avec le numérique, la fiscalité n'est pas dans son assiette. Actuellement, le pays d'imposition des bénéfices des sociétés est lié à la présence physique. Or, pour vendre des services numériques, il n’est pas indispensable de disposer localement d'une installation fixe telle qu'un bureau, un siège de direction ou une succursale. C’est grosso modo sur ce constat que la Commission européenne a publié, hier, deux propositions de directive.

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Fiscalité du numérique : l'OCDE espère un consensus en 2020

L'OCDE (organisation de coopération et de développement économiques) vient de publier un rapport intérimaire sur la fiscalité du numérique.

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Un simulateur de charges pour les entrepreneurs individuels

Le Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptable diffuse la version 2018 de son simulateur de charges fiscales et sociales pour les auto-entrepreneurs. Cet outil sert notamment à comparer ces coûts avec ceux du régime classique de l'entreprise individuelle.

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Certains schémas fiscaux devront être déclarés

Le Conseil de l’Union européenne vient de s’entendre sur un projet de directive obligeant le prestataire fiscal, ou le contribuable, à communiquer à l’administration les dispositifs fiscaux transfrontaliers dits agressifs. Quasi-définitif, le texte adopté donne aux Etats membres la possibilité de faire reposer cette obligation de transparence notamment sur les experts-comptables et les avocats.

C’est un dossier rondement mené. En moins d’un an, l’Union européenne s'est mise d'accord sur une directive destinée à accroître la transparence fiscale.