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Heures supplémentaires : des précisions sur le taux de réduction des cotisations

Un décret, paru le 25 janvier 2019, fixe le taux de réduction des cotisations salariales d'assurance vieillesse. Ce taux s'appliquera notamment aux heures supplémentaires et complémentaires effectuées à compter du 1er janvier 2019. Explications sur les modalités de calcul de cette nouvelle réduction.

Un dispositif de réduction des cotisations salariales d'origine légale des heures supplémentaires et complémentaires a été mis en place par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2019. Prévu à l'origine pour septembre 2019, sa date d'entrée en vigueur a été avancée au 1er janvier 2019 par la loi portant mesures d'urgence économiques et sociales.

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Mise à jour du guide de l'Acoss pour la DSN

L'Acoss publie une nouvelle version de son guide pour déclarer et régulariser les cotisations Urssaf  en DSN.

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Un décret fixe la proportion de travailleurs handicapés dans les entreprises adaptées

Un décret publié vendredi met en oeuvre les mesures sur les entreprises adaptées issues de la loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018. Il indique que les entreprises adaptées doivent employer entre 55 et 100 % de travailleurs handicapés (une période transitoire étant aménagée jusqu'en 2022 pour les entreprises adaptées ayant été agréées avant le 1er janvier 2019). Toutefois, le calcul de l'aide financière accordée à ces entreprises ne prend en compte que jusqu'à 75 % la part de travailleurs handicapés dans l'effectif annuel.

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Le salarié mis à pied à titre conservatoire doit être convoqué rapidement à un entretien préalable

La mise à pied du salarié à titre conservatoire doit être suivie dans les plus brefs délais d'une procédure de sanction, rappelle la Cour de cassation le 16 janvier 2019. En outre, lorsque les faits reprochés au salarié font ressortir sa mauvaise foi délibérée, l'employeur ne peut pas invoquer l'insuffisance professionnelle comme motif de licenciement.

De retour d'un arrêt de travail de six mois, un chargé d'affaires employé par une entreprise de bâtiment se voit notifier une mise à pied conservatoire. Huit jours plus tard, il est convoqué à un entretien préalable à son licenciement. La lettre de licenciement que le salarié reçoit quelque temps après lui reproche notamment son attitude de "contestation systématique des directives données". Les faits à l'origine de ce licenciement remontent à la période précédant l'arrêt du travail du salarié.

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Infractions routières : l'employeur et l'entreprise peuvent être poursuivis en cas de non-dénonciation

La chambre criminelle de la Cour de cassation traite pour la première fois de la question relative à l'obligation pour les entreprises de dénoncer les infractions routières commises par les salariés avec le véhicule de l'entreprise. Deux arrêts du 11 décembre 2018 apportent des précisions inédites.

Cette mesure avait fait grand bruit lors de son adoption. La loi "justice du 21ème siècle" du 18 novembre 2016 prévoit, depuis le 1er janvier 2017, que lorsqu'une infraction est commise avec un véhicule appartenant à l'entreprise, l'employeur doit fournir l'identité et l'adresse de la personne qui conduisait le véhicule (article L. 121-6 du code de la route). La déclaration doit être faite par lettre recommandée dans les 45 jours à compter de l'envoi ou de la remise de l'avis de contravention.

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Index : les entreprises totalisent en moyenne 31 points sur 40 pour l'indicateur sur la rémunération

Alors que la publication de l’index des inégalités salariales femmes/hommes est prévue pour le 1er mars pour les entreprises de plus de 1 000 salariés, le ministère du travail a dévoilé, jeudi dernier, les résultats d’une simulation effectuée, à l’automne, auprès des 40 000 entreprises françaises de plus de 50 salariés, à partir de leurs données 2015. Deux indicateurs ont été pris en compte, le premier qui porte sur les écarts salariaux (40 points) et le cinquième qui révèle le nombre de femmes parmi les 10 plus hauts salaires (10 points).

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Le mouvement des gilets jaunes peut-il faire tâche d'huile dans l'entreprise ?

Des revendications qui tournent autour du pouvoir d'achat mais qui n'interrogent pas les politiques salariales des entreprises ? Telle est l'apparente contradiction du mouvement des gilets jaunes. Olivier Mériaux, politologue, consultant au sein du cabinet Plein Sens et ancien directeur adjoint de l'Anact, et Maxime Quijoux, sociologue du travail au Cnam, analysent les particularités de ce mouvement.

Le mouvement des gilets jaunes n’a pas franchi la porte des entreprises. Si quelques prémices s’observent çà et là, les entreprises restent pour l’heure épargnées par ce mouvement de protestation. Comment expliquer que les salariés ne se sont pas emparés massivement du mouvement ? Que des revendications salariales n'aient pas émergé sur les lieux de travail, dans la lignée des revendications sur le pouvoir d'achat des gilets jaunes ?

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Inaptitude : les juges limitent la portée de l'obligation de reclassement

L'employeur doit-il justifier pourquoi certains postes disponibles sur internet n'ont pas été proposés à un salarié inapte ? Le licenciement pour inaptitude peut-il être invalidé lorsque le médecin du travail refuse d'émettre un avis ? La cour de cassation illustre à nouveau sa jurisprudence sur l'obligation de reclassement dans deux arrêts rendus le 9 janvier 2019.

Un jeune soudeur est déclaré inapte par son médecin du travail à la suite d'une maladie d'origine non-professionnelle. Une animatrice formation pour une filiale d'un grand groupe bancaire est déclarée inapte à la suite d'un accident de trajet. Dans deux arrêts rendus le 9 janvier 2019, la Cour de cassation limite l'obligation de reclassement et donne raison aux entreprises.

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Le barème d'indemnités de licenciement continue d'agiter les conseils de prud'hommes

Pour la première fois à notre connaissance, un conseil des prud'hommes, celui de Caen, statuant en départage, c'est-à-dire sous la présidence d'un juge professionnel, décide d'appliquer le barème fixant les indemnités en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse. Par ailleurs, le conseil de prud'hommes de Grenoble vient à son tour d'écarter l'application du barème.

Le conseil des prud'hommes de Caen décide, dans un jugement daté du 18 décembre 2018 - le conseil statuant en bureau de départage - que le barème fixant les indemnités en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse doit être appliqué.

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Régime unifié de retraite complémentaire : les précisions de l’Agirc-Arrco

Le 1er janvier 2019, les régimes de retraite complémentaire de l’Agirc et de l’Arrco fusionnaient en un seul régime unifié, conformément à l’accord national interprofessionnel conclu par les partenaires sociaux le 17 novembre 2017. Ne restait qu’à consolider la réglementation de ce nouveau régime par circulaire. C’est chose faite : une circulaire du 9 janvier 2019, diffusée le 18 janvier, vient préciser les contours de cette nouvelle réglementation.

A la circulaire Agirc-Arrco du 9 janvier 2019, sont jointes huit fiches :