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Mobilités : les salariés en manque d’accompagnement

50 % des actifs souhaitant changer de profession ne maîtrisent pas les dispositifs de sécurisation des parcours, selon l’étude de l’Observatoire des trajectoires professionnelles, animé par Lab’Ho (groupe Adecco) et le laboratoire Lipse d’IGS-RH (groupe IGS). La réforme de la formation, présentée, hier, à l’Assemblée nationale changera-t-elle la donne ?

Changer d’emploi ou d’entreprise pour changer de vie : beaucoup de salariés en rêvent. Un actif sur dix envisage même de sauter le pas, cette année, y compris parmi ceux qui ont connu une réorientation l’année passée. C'est le constat que dresse l’étude de l’Observatoire des trajectoires professionnelles, animé par Lab’Ho (groupe Adecco) et le laboratoire Lipse d’IGS-RH (groupe IGS) et dévoilée avant-hier soir. Les femmes, les jeunes et les salariés ayant un niveau de formation du secondaire à bac +3 et plus sont particulièrement concernées.

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CSE, pénibilité : y aura-t-il un impact sur la prévention des risques professionnels ?

Previsoft a publié son baromètre 2018 de la santé et la sécurité au travail. L'occasion de constater une évolution positive de la prise en compte de ces risques, et de récolter les premiers retours sur les nouveautés mises en place par les ordonnances Travail.

"On constate cette année une belle évolution sur la prise de conscience au sujet du document unique", se réjouit Auriande Labed, consultante chez Previsoft, société spécialisée dans la prévention des risques professionnels. Previsoft a publié le 24 mai 2018, pour la seconde année consécutive, un baromètre dédié à la santé et la sécurité au travail (*). En 2018, 88 % des entreprises interrogées disent avoir réalisé leur document unique d'évaluation des risques professionnels, contre 84 % en 2017.

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Le travail au black, bête noire de l’Acoss

Le bilan de la lutte contre le travail dissimulé reste décevant malgré des progrès. Publié hier, celui de 2017 confirme que l’agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss) doit relever deux défis structurels : la faiblesse des redressements et du recouvrement.

L’Acoss continue de courir après le travail dissimulé. L’écart entre les redressements et la fraude sociale pour travail non déclaré est gigantesque. L'année 2017, dont un bilan a été livré à la presse hier, ne change pas fondamentalement la donne.

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A quoi ressemble le dialogue social informel des TPE ?

Depuis les ordonnances Macron, les employeurs de moins de 11 salariés peuvent faire entériner des "accords" par référendum. Mais auparavant, comment se déroulait le dialogue social informel dans ces très petites entreprises (TPE) ? Selon la Dares, dans un tiers des TPE les salariés sont associés à certaines décisions.

Dépourvues de représentant du personnel car situées sous le seuil d'élection du CSE (ex-délégués du personnel) qui est de 11 salariés ou du fait d'absence de candidats (de 11 à 20 salariés), les très petites entreprises peuvent, depuis les ordonnances Macron, faire ratifier par référendum des projets d'accord élaborés par le seul employeur. Mais auparavant, qu'en était-il de ce fameux "dialogue social informel "invoqué par les organisations patronales pour réfuter toute mesure contraignante s'agissant de la représentation du personnel dans les TPE et de la négociation collective ?

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"Le télétravail : oui, mais pas trop!"

Quelle opinion du télétravail ont ceux qui le pratiquent ? Une enquête réalisée par l'Observatoire du télétravail (Obergo) donne la parole aux salariés, afin de mettre en lumière les avantages et inconvénients réels de ce mode d'organisation. Elle montre que les impacts négatifs apparaissent surtout pour les durées de télétravail supérieures à deux jours par semaine.

Diminution de la fatigue physique liée aux transports, amélioration de la qualité de la vie personnelle, de la productivité et de la qualité du travail : selon l'expérience des télétravailleurs, "les impacts positifs du télétravail sont largement supérieurs à ses impacts négatifs", conclut une enquête réalisée par l'Observatoire du télétravail et de l'ergostressie (Obergo), avec le soutien de la CFDT cadres. Cette étude sur les "impacts du télétravail réel" a été publiée - pour la cinquième année consécutive - le 16 mai 2018.

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La lettre recommandée électronique simplifiée et sécurisée au 1er janvier 2019 : son utilisation en droit du travail

Les conditions d'application visant à garantir l'équivalence de l'envoi d'une lettre recommandée électronique avec une lettre recommandée papier pour la conclusion ou l'exécution d'un contrat seront simplifiées à compter du 1er janvier 2019. Ils apporteront des garanties supplémentaires à l'expéditeur.
Pour la conclusion ou l'exécution d'un contrat, l'envoi en recommandé avec avis de réception peut être exigé afin de constituer une preuve de l'envoi.
A la une (brève)

Le forfait social serait réduit en matière d'épargne retraite d'entreprise et d'actionnariat salarié

Vendredi, lors de son intervention devant le Congrès des jeunes dirigeants d'entreprise, à Nancy, le Premier ministre a précisé les évolutions relatives au forfait social en matière d'intéressement, de participation, mais aussi d'épargne retraite et d'actionnariat salarié. Ces modifications seront introduites dans le projet de loi PACTE, porté par Bruno Le Maire, le ministre de l'économie : 

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Accords d'entreprise : un décret entérine la nouvelle procédure de dépôt en ligne

Les accords d'entreprise, d'établissement, de groupe et interentreprises doivent désormais être déposés en ligne sur TéléAccords, la nouvelle plateforme de téléprocédure du ministère du travail. Un décret du 15 mai détaille les modalités de ce dépôt électronique.

Un décret du 15 mai 2018 fait évoluer la procédure de dépôt des accords collectifs. L'objectif est double :

- d'une part, sécuriser juridiquement le dépôt des accords via la mise en place d'un site de saisie en ligne ;

- d'autre part, simplifier le dépôt en vue de la publicité des accords à destination de tous publics.

Signalons que le ministère du travail a anticipé cette nouvelle procédure en mettant en ligne le 28 mars dernier une plateforme de téléprocédure appelée « TéléAccords ».

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L’indemnité de rupture conventionnelle collective est soumise au forfait social

L'exposé des motifs de la loi de finances pour 2018 précisait que le régime social et fiscal de l'indemnité de rupture conventionnelle serait aligné sur celui des indemnités versées dans le cadre d'un PSE. L'Urssaf vient pourtant de préciser sur son site Internet que la part des indemnités de rupture conventionnelle exonérée de cotisations mais soumise à CSG et CRDS est soumise au forfait social.

La loi de finances pour 2018 a modifié l’article 80 duodecies du code général des impôts afin d’exonérer d’impôt sur le revenu l’indemnité de rupture conventionnelle collective.  Cette modification avait été introduite dans le projet de loi par voie d’amendement du gouvernement et l’exposé des motifs précisait que son objectif était d’aligner le régime social et fiscal de l’indemnité de rupture conventionnelle sur celui des indemnités versées dans le cadre d’un PSE.

L’article L. 137-15 du code de la sécurité sociale n’a pas été modifié

A la une (brève)

De nouvelles aides Agefiph

L'Agefiph propose depuis le 23 avril 2018 une nouvelle offre de services et d'aides financières aux entreprises et aux personnes handicapées. Ces modifications vissent un triple objectif  :