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A la une

Facebook : le salarié peut injurier son employeur au sein d’un groupe fermé

Dans un arrêt rendu le 12 septembre, la Cour de cassation se prononce sur la légitimité d’un licenciement disciplinaire prononcé en raison de propos injurieux tenus par un salarié sur Facebook au sein d’un groupe fermé. Le fait que l’intéressée ait insulté son employeur dans un groupe non ouvert à tous ne permet pas à ce dernier de procéder à son licenciement.

La Cour de cassation n’a pas encore eu beaucoup l’occasion de se prononcer sur les conséquences de propos injurieux tenus par un salarié à l’encontre de son employeur sur les réseaux sociaux.

A la une

Discrimination, dévalorisation, sexisme et racisme au travail : le panorama inquiétant du Défenseur des droits

Selon le 11e baromètre du Défenseur des droits et de l'OIT, une personne sur quatre a été confrontée à des propos stigmatisants au travail ces cinq dernières années. Les propos ou comportements racistes, sexistes ou de dévalorisation professionnelle touchent particulièrement les jeunes femmes non blanches. Explications et réactions.

En 2016, Jacques Toubon, nouveau Défenseur des droits, avait lancé une grande enquête auprès de 5 117 personnes (coût : 600 000€) pour avoir une idée précise de la situation des discriminations en France dans le monde du travail.

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Loi Avenir professionnel : des retouches pour l’entretien professionnel

Contenu de l’entretien plus étoffé, anticipation de l’entretien de reprise, possibilité de négocier sur sa périodicité et les modalités d’appréciation du parcours professionnel… La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel modifie le contenu de ce face-à-face. Des mesures qui entrent en vigueur le 1er janvier 2019.

Intégré au code du travail par la loi du 5 mars 2014, l’entretien professionnel subit un premier toilettage. Si ce rendez-vous permettait jusqu’ici aux RH ou au manager d’informer le salarié sur ses perspectives d’évolution professionnelle et sur la validation des acquis de l’expérience, il devra désormais comporter de nouvelles informations, à savoir l’activation de son compte personnel de formation (CPF), les abondements que la société est susceptible de financer et le conseil en évolution professionnelle.

A la une

La cotisation au service de santé interentreprises doit uniquement tenir compte du nombre de salariés de l'entreprise

Les services de santé interentreprises (SSTI) ne doivent pas pondérer la cotisation de leurs entreprises adhérentes en se basant sur la masse salariale, a confirmé la Cour de cassation la semaine dernière. Les juges admettent comme seul critère de pondération le nombre de salariés sous suivi médical renforcé. Près de la moitié des SSTI seraient ainsi dans l'illégalité.

Pour la première fois, la chambre sociale de la Cour de cassation a confirmé le mode de calcul de la cotisation des entreprises aux services de santé interentreprises (SSTI). Dans un arrêt rendu le 19 septembre, elle explique que les dépenses globales du service interentreprises doivent tout d'abord être rapportées au nombre total de salariés de l'ensemble des entreprises adhérentes.

A la une (brève)

Modification des seuils et suppression du forfait social dans les entreprises de moins de 250 salariés : quel impact sur le coût du travail ?

La Direction générale du Trésor a passé au crible trois des mesures du projet de loi Pacte, parmi lesquelles celle sur les seuils sociaux et la suppression du forfait social dans les entreprises de moins de 250 salariés.

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Une PME utilise la biométrie pour contrôler les horaires de ses employés, la CNIL sanctionne

Alors qu'elle vient de lancer une consultation publique sur un projet de règlement type relatif à l'utilisation des données biométriques sur le lieu de travail, la CNIL a rendu publique la sanction de 10 000 euros qu'elle a prononcée le 6 septembre dernier à l'encontre d'une société dont les 14 employés étaient contrôlés par un système de pointage biométrique.

En novembre 2016, alors qu'elle procède à un contrôle dans les locaux d'une société de vidéosurveillance et de vidéoprotection, la CNIL constate qu'un dispositif de pointage biométrique à des fins de contrôle des horaires des salariés est mis en oeuvre, sans son autorisation. Elle relève également que les appels téléphoniques des salariés sont enregistrés sans qu'ils en soient informés et que les interlocuteurs n'ont connaissance ni de l'identité du responsable du traitement ni de leur droit d'opposition.

A la une

Loi Avenir professionnel : ce qui change en matière de travail détaché

La loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel facilite administrativement les détachements, en supprimant le droit de timbre pour les employeurs concernés et en exonérant certaines activités de l'obligation de déclaration. En contrepartie, elle renforce les contrôles, et double le plafond des amendes administratives.

La loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018 apporte de nouvelles corrections aux règles encadrant le recours au travail détaché.

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Les hommes témoignent sur la conciliation des temps de vie

Une étude réalisée par l’agence Goods to know et l’Orse livre les points de vue des hommes sur la conciliation vie privée-vie professionnelle. Si ces derniers n’hésitent pas à solliciter des congés "enfant malade" et parentaux, ils estiment que d’autres mesures, à l’instar du temps partiel et du congé parental d’éducation, peuvent nuire à leur carrière.

Alors que les DRH tentent de concilier l’équilibre entre vie privée et vie professionnelle de leurs salariés, via des accords sur la qualité de vie au travail, quelles sont les attentes des hommes en termes de parentalité ? A quels stéréotypes sont-ils confrontés ? Sont-ils satisfaits des mesures mises en place ? Et surtout peuvent-ils en bénéficier au même titre que leurs collègues féminines ?

A la une

Loi Avenir professionnel : l'apprentissage en pleine rénovation

Limite d'âge maximale, abaissement de la durée minimale, modalités de rupture, réforme de l'enregistrement du contrat... Les dispositions de la loi du 5 septembre 2018 impactant l'apprentissage sont nombreuses et variées.

La loi du 5 septembre 2018 "pour la liberté de choisir son avenir professionnel" contient de nombreuses dispositions rénovant l'apprentissage. Sont ainsi simplifiées - pour les contrats conclus à compter du 1er janvier 2019 - les conditions d'exécution du contrat d'apprentissage (limite d'âge, durée...), mais également ses conditions de rupture (suppression de l'obligation de passer devant le conseil des prud'hommes à défaut d'accord entre les parties notamment).

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Handicap : ce que change la loi Avenir professionnel

L'un des objectifs de la loi Avenir professionnel du 5 septembre 2018 est d'augmenter le taux d'emploi des personnes en situation de handicap. Elle prévoit tous les cinq ans la révision du taux d'emploi de ces personnes dans les entreprises, actuellement fixé à 6 %.

Publiée le 6 septembre au Journal officiel, la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel réforme l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés (OETH). Détail de ces nouvelles mesures, applicables au 1er janvier 2020. Beaucoup de dispositions doivent encore être précisées par décret.

Accompagnement du handicap dans l'entreprise

Référent handicap. Toutes les entreprises employant au moins 250 salariés doivent désigner "un référent chargé d'orienter, d'informer et d'accompagner les personnes en situation de handicap".