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A la une (brève)

Un code du travail numérique pour faciliter l'accès au droit pour les TPE-PME

L'un des projets d'ordonnances réformant le code du travail prévoit de créer un "code du travail numérique" (article 1 de l'ordonnance relative à la prévisibilité et la sécurisation des relations de travail). L'objectif est de permettre et faciliter l'accès à tous aux règles du droit du travail, qu'il s'agisse des dispositions législatives et réglementaire ou des normes conventionnelles. Cette mesure s'adresse principalement aux TPE et aux PME, précise le ministère du travail.

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Licenciements : la méthode du gouvernement pour sécuriser et limiter les contentieux

Afin de sécuriser les ruptures du contrat de travail et de limiter les contentieux, l'une des ordonnances divulguée jeudi dernier modifie le périmètre d’appréciation des difficultés économiques, instaure un barème obligatoire en cas de licenciement sans cause réelle et sérieuse, clarifie certaines irrégularités de procédure et unifie les délais de recours de contestation des licenciements.
Attention, il s’agit d'un projet d’ordonnance susceptible d’être modifié avant sa publication au Journal officiel

 

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Les ordonnances redéfinissent les rôles respectifs des accords de branche et d'entreprise

Les ordonnances clarifient autour de trois blocs le rôle de la branche et de l'entreprise. Elles tendent aussi à sécuriser les accords collectifs en leur accordant une présomption de légalité et en limitant le délai de l'action en nullité. Par ailleurs, le régime des accords sur l'emploi est unifié. Enfin, l'ordonnance acte la généralisation des accords majoritaires au 1er mai 2018.

La réforme du travail engagée par Emmanuel Macron poursuit la nouvelle articulation entre les accords de branche, les accords d'entreprise et la loi. La première des 5 ordonnances clarifie ainsi les rôles respectifs des accords d'entreprise et des accords de branche autour de trois blocs.

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L'employeur doit payer les frais de justice du salarié poursuivi pour des faits liés au travail

Lorsqu'un salarié fait l'objet de poursuites pénales en raison d'actes commis dans le cadre de son activité professionnelle, les frais de justice engagés sont à la charge de l'entreprise. Y compris si l'employeur s'est constitué partie civile au procès pénal.

Depuis maintenant plus de dix ans, la Cour de cassation reconnaît l'existence, à la charge de l'employeur, d'une obligation de protection juridique du salarié lorsque celui-ci, poursuivi pénalement pour des faits relatifs à l'exercice de ses fonctions, doit engager des frais pour sa défense. Un arrêt du 5 juillet 2017 confirme ce principe et rappelle les conditions à respecter pour bénéficier de cette prise en charge des frais de justice par la direction.

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Ordonnances : les étapes à venir avant leur entrée en vigueur

Le Premier ministre, Edouard Philippe, et la ministre du travail, Muriel Pénicaud, dévoileront jeudi après-midi, à la presse, le contenu des cinq ordonnances. Mais entre cette première présentation et l'entrée en vigueur des ordonnances, un certain nombre d'étapes restent encore à franchir.

Dernière ligne droite pour les ordonnances... ou presque ! Jeudi, le gouvernement dévoilera les cinq ordonnances à l'issue d'une conférence de presse. C'est ce que nous a assuré avant-hier matin le ministère du travail, information confirmée par Edouard Philippe, lors de la conférence de presse qui a suivi le séminaire gouvernemental de rentrée.

 

A la une

Les événements clefs de l’été 2017

Adoption du projet de loi d'habilitation, détail des procédures à suivre concernant la validation des acquis de l'expérience et des obligations des entreprises en matière de RSE, annonce du transfert des cotisations salariales vers la CSG... Rappel des événements RH majeurs qui ont eu lieu cet été.


Un projet de loi
Réforme du code du travail
A la une

Contrôle Urssaf : une mise en demeure de rattrapage peut régulariser une procédure de recouvrement

La notification d’une seconde mise en demeure adressée postérieurement à l’envoi à la société de la réponse à ses observations sur les résultats du contrôle est valide. Elle permet de régulariser la procédure de recouvrement. Peu importe que la première mise en demeure ait été annulée par la commission de recours amiable (CRA).

Dans cette affaire, suite à un contrôle portant sur les années 2006 à 2008, l’Urssaf notifie, le 2 octobre 2009, une lettre d’observations à une société qui lui répond par lettre recommandée du 4 novembre. L'inspecteur du recouvrement répond à cette lettre le 21 décembre 2009 mais, entre-temps (plus précisément le 14 décembre 2009), une mise en demeure de payer est notifiée à la société.

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Accorder une demi-journée de congé uniquement aux femmes pour le 8 mars n'est pas discriminatoire

La Cour de cassation précise qu'un accord collectif peut prévoir au seul bénéfice des femmes une demi-journée de congé à l'occasion de la journée internationale des droits des femmes du 8 mars sans que ceci constitue une discrimination entre les sexes.

L'égalité entre les hommes et les femmes est un sujet devenu central dans notre société et en premier lieu au sein des entreprises. Conscientes qu'il existe de nombreuses inégalités notamment en termes de rémunération, ces entreprises peuvent-elles pour autant faire de la discrimination positive dans le cadre d'un accord collectif en instituant des avantages supplémentaires aux seules femmes ?

A la une (brève)

La réforme du RSI dans le PLFSS 2018

Le gouvernement a confirmé le transfert au régime général de la gestion du régime social des indépendants (RSI), pour une mise en place au 1er janvier 2018. Dominique Giorgi, inspecteur général des affaires sociales, est chargé de coordonner la préparation de cette réforme qui sera portée par le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2018.

A la une

Congés conventionnels supplémentaires : quand les intégrer dans l'assiette de calcul de l'indemnité de congés payés ?

Une période de congés supplémentaires prévue par la convention collective doit être incluse dans l'assiette de calcul de l'indemnité de congés payés dès lors qu'elle est assimilée par les textes conventionnels à une période de travail effectif.

Les congés payés annuels ouvrent droit à une indemnité égale au dixième de la rémunération brute totale perçue par le salarié au cours de la période de référence. Entre dans l’assiette de calcul de cette indemnité la rémunération correspondant à des périodes constituant du travail effectif ou y étant expressément assimilées par un texte légal ou conventionnel (article L.3122-24 du code du travail).