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A la une (brève)

Déclarations et paiement dématérialisés : une obligation généralisée pour les TNS

Depuis 2014,les TNS, y compris les micro-entrepreneurs, doivent obligatoirement effectuer leur déclaration en ligne et payer leurs cotisations et contributions sociales par voie dématérialisée, si leurs derniers revenus connus dépassent certains seuils. Un décret du 2 mai 2017 prévoit une nouvelle baisse de ces seuils à compter du 1er janvier 2018. A cette date, l'obligation de dématérialisation s'imposera  :

Synthèses

Jours fériés 2017 : quelles règles pour les jours fériés travaillés ou non en mai ?

Voici venir le mois de mai et ses semaines à trous. Avec le lundi 8 mai et le jeudi de l'Ascension, ce sont 2 jours fériés qui tombent en début ou en fin de semaine. Rappel de ce que peut faire l'employeur.

Parmi les fêtes légales, seul le 1er mai est obligatoirement non travaillé pour tous les salariés (toutes entreprises et catégories confondues). Les autres jours fériés sont chômés si des dispositions en ce sens sont prévues :

A la une

Vapoter au bureau sera interdit à partir du 1er octobre

Un décret met en œuvre l'interdiction d'utiliser une cigarette électronique (de "vapoter") dans certains lieux publics. Les locaux de travail seront concernés. Détail des futures obligations des employeurs en la matière.

La vapote en open-space, c'est fini. Un décret publié jeudi dernier rendra effective au 1er octobre 2017 l'interdiction d'utiliser des cigarettes électroniques dans certains lieux publics. Le principe de cette prohibition est issu de la loi du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé.

A la une

Reconduction, calcul de l'ancienneté : nouvelle étape dans l'encadrement des contrats saisonniers

Une ordonnance publiée vendredi prévoit les conditions de reconduction des contrats de travail saisonniers dans les branches qui y recourent le plus. Détail des règles qui seront applicables à ces contrats, à défaut d'accord collectif de branche ou d'entreprise.

Ils sont entre 500 000 et 700 000 en France, selon France Stratégie. Les emplois saisonniers viennent de faire l'objet d'une ordonnance, publiée vendredi au Journal officiel. Ce texte, pris en application de l'article 86 de la loi Travail du 8 août 2016, prévoit des règles supplétives en matière de reconduction des contrats et d'acquisition de l'ancienneté. Cela signifie que ces dispositions s'appliqueront à défaut d'accord sur ces deux thèmes de négociation, au niveau de la branche ou de l'entreprise.

A la une (brève)

Attribution d'actions gratuites : pas d'actions, pas de contribution patronale !

Les attributions d’actions gratuites sont soumises à une contribution patronale, due par l’employeur. Pour les actions gratuites dont l’attribution est autorisée par une décision de l’assemblée générale extraordinaire (AGE) intervenues avant le 8 août 2015, cette contribution est exigible le mois suivant la date décision d’attribution des actions.

A la une

Représentativité patronale : l'audience des organisations est établie pour la première fois

Pour la première fois est mesurée l'audience des organisations patronales. La CPME décroche 34,54% de l'audience auprès des entreprises adhérentes à une organisation, derrière les artisans et libéraux (35,89%) mais devant le Medef (29,41%). Mais le Medef représente 70,72% de l'audience des entreprises compte tenu du critère des effectifs.

Après les organisations syndicales, qui ont connu leur deuxième mesure d'audience le 31 mars 2017, c'est au tour des organisations patronales d'expérimenter la mesure de leur représentativité, qui clôt ainsi le système qui prévalait jusqu'alors de reconnaissance mutuelle entre organisations d'employeurs. Hier, le Haut conseil au dialogue social, présidé par Jean-Denis Combrexelle, a rendu public les éléments de ces critères multiples et complexes (voir ci-dessous l'infographie). Il en ressort que, sur 420 000 entreprises employant 12 millions de salariés :

A la une

Le mi-temps thérapeutique à la portée des TNS

Depuis le 1er mai, les artisans et commerçants ainsi que leurs conjoints collaborateurs peuvent bénéficier d’indemnités journalières maladie tout en reprenant progressivement leur activité professionnelle.

À la différence du régime général des salariés, le RSI ne prévoyait jusqu’à présent aucune possibilité de mi-temps thérapeutique. La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2016 a remédié à cette situation en permettant aux artisans, aux commerçants et à leurs conjoints collaborateurs de bénéficier d’indemnités journalières maladie tout en reprenant progressivement leur activité professionnelle.

A la une

Le secret médical peut être opposé à l'expert du CHSCT

Dans un arrêt du 20 avril, la Cour de cassation décide que le secret médical peut être opposé à l'expert mandaté par le CHSCT. Ce dernier ne peut exiger d'assister aux réunions des équipes médicales ni d'entrer dans les blocs opératoires lors d'interventions médicales.

Le CHSCT d'un centre hospitalier décide de recourir à une expertise sur le fondement de l'article L. 4614-12 du code du travail, qui lui permet de déclencher une telle expertise notamment lorsqu'un risque grave révélé ou non par un accident du travail, une maladie professionnelle ou à caractère professionnel, est constaté dans l'établissement.

A la une (brève)

Le droit aux prestations maternité subordonné à une durée minimale d'affiliation au RSI

Pour bénéficier des prestations en espèces servies par le RSI à l’occasion de la naissance ou de l’adoption, une seule condition est actuellement requise : l’assuré(e) doit être à jour de ses cotisations obligatoires d’assurance maladie-maternité. A compter du 1er janvier 2018, une condition de durée minimale d’affiliation au RSI sera exigée. L'assuré(e) aura droit aux prestations en espèces de l'assurance maternité-paternité lorsqu'il pourra être justifié :

A la une

Le salarié qui n'a pas pu formuler une demande de repos compensateur doit être indemnisé

La Cour de cassation rappelle, dans un arrêt du 29 mars, que lorsque le salarié n'a pas été en mesure de prendre les repos compensateurs liés à la réalisation d'heures supplémentaires, il peut prétendre à une indemnisation comportant à la fois le montant de l'indemnité de repos et le montant de l'indemnité de congés payés.

Plusieurs salariés d'une entreprise réclament en justice des dommages-intérêts pour n'avoir pas été en mesure de formuler une demande de repos compensateur. Ils demandaient ainsi l'indemnisation du préjudice subi.

Défaut d'information des salariés

La cour d'appel de Riom condamne l'entreprise. Les juges constatent que les bulletins de paie ne distinguaient pas les repos compensateurs acquis au titre des heures supplémentaires effectuées à l'intérieur du contingent et les heures supplémentaires réalisées au-delà du contingent.