Social

Site: 
Code VP: 
ACTUEL_EC_SOCIAL
Poids: 
0
Libellé: 
Home
Label du produit: 
Social
Menu - Groupes de thèmes: 
Liste des métiers: 
Synthèses

Titres de travail : ce que change la loi sur le droit des étrangers

La loi du 7 mars 2016 sur le droit des étrangers en France modifie certaines des modalités d'attribution des titres de séjour pour travailler en France. Le texte vise notamment à développer les cartes de séjour pluriannuelles.

La loi du 7 mars 2016 sur le droit des étrangers en France a été publiée au Journal officiel. Nous récapitulons les mesures qui concernent les autorisations de travail.

Synthèses

Dans quels cas les salariés peuvent-ils ne pas adhérer à leur mutuelle ?

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2016 et un décret du 30 décembre 2015 posent de nouvelles règles pour les dispenses d'affiliation aux mutelles mises en place par les entreprises. Détail des dispositions applicables depuis le 1er janvier.
Quels sont les cas de dispense de droit d'affiliation à la mutuelle de l'entreprise ?
A la une

Le projet de loi Travail ne prévoira qu'un barème indicatif en cas de licenciement injustifié

C'est finalement le référentiel indicatif d'indemnités de licenciement prévu dans la loi Macron qui sera recyclé dans le projet de loi Travail. Exit le barème obligatoire. Afin de donner plus de cohérence au dispositif, le barème applicable devant le bureau de conciliation depuis 2013 sera révisé. Explications et décryptage.

Le Premier ministre a présenté avant-hier les modifications que le gouvernement compte apporter à l'avant-projet de loi Travail. Le texte modifié a été transmis avant-hier au Conseil d'Etat. La date de présentation en Conseil des ministres n'est pas modifiée, ce sera toujours le 24 mars. Nous reviendrons en détail sur ces modifications lorsque l'avant-projet de loi sera diffusé. Une chose est sûre, ce n'est pas dans le cadre du projet de loi Travail que le barème d'indemnités obligatoire verra le jour !

A la une

Envoyer au travail des tweets non professionnels est-il fautif ?

Envoyer 1 336 tweets extra-professionnels en un an et demi n'est pas fautif pour un directeur web analytic connecté à Internet quasiment toute la journée. Mis bout à bout, ces tweets représentaient une durée limitée, soulignent les juges, qui retiennent également le fait que son contrat de travail ne prévoyait aucun horaire de travail.

Les réseaux sociaux s'invitent de plus en plus dans la jurisprudence. Après Facebook, c'est au tour de Twitter de soulever des contentieux au travail. Dans l'affaire qui a été soumise à la cour d'appel de Chambéry le 25 février dernier, il est notamment reproché à un directeur web analytics d'avoir envoyé un certain nombre de tweets pendant ses heures de travail. Il est mis à pied, puis licencié pour faute grave.

A la une

Le droit du licenciement, un frein à l’efficacité économique ?

Le droit du licenciement actuel est-il un obstacle à la bonne conciliation entre la protection du salarié et l’efficacité économique ? C’est à cette question, qui a pris plus d’ampleur ces dernières semaines avec l’avant-projet de loi Travail, qu’ont tenté de répondre des juristes et des économistes, réunis vendredi matin, en confrontant le résultat de leurs observations.

C'est une conférence qui est tombée à point nommé pour éclairer les débats en cours sur le projet de loi Travail ! Les organisateurs du séminaire qui s'est tenu vendredi matin à Paris l'assurent : elle avait été programmée depuis juillet dernier.

A la une (brève)

Cotisations des indépendants : nouvelles modalités

Les modalités de recouvrement des prélèvements sociaux des travailleurs indépendants sont à nouveau modifiées. Un décret clarifie notamment les modalités de taxation forfaitaire à défaut de déclaration des revenus, la procédure de radiation d'un cotisant et les conditions d'échanges de données entre les régimes.

A la une

Perco : les conditions d'application du forfait social à 16 % sont précisées

L'instruction interministérielle du 18 février 2016 sur l'épargne salariale précise les conditions d'application du forfait social à 16 % pour certains Perco. Ils doivent prévoir une gestion pilotée par défaut et les règlements de Perco doivent avoir été modifiés à cet effet pour en bénéficier.

La loi Macron a prévu plusieurs dispositifs afin de développer la mise en place des Perco dans les entreprises. L'un d'eux permet à l'employeur de bénéficier d'un forfait social à 16 %, sous certaines conditions qui ont été précisées par l'instruction interministérielle du 18 février 2016 sur l'épargne salariale.

A la une

Pénibilité : le Conseil d'Etat annule la cotisation additionnelle

Le Conseil d'Etat annule les dispositions du décret du 9 octobre 2014 sur la cotisation due par les employeurs dont au moins un de leurs salariés est exposé à la pénibilité en raison de leur non conformité avec les dispositions législatives alors en vigueur. La portée de cette décision devrait être limitée et les taux de cotisations précisés prochainement par un nouveau décret.

La pénibilité est financée par une cotisation due par tous les employeurs et par une cotisation additionnelle due au titre des salariés exposés à la pénibilité. Ces cotisations prévues par la loi portant réforme des retraites du 20 janvier 2014 ont été fixées par un décret du 9 octobre 2014.

A la une

Avantages individuels acquis et structure de la rémunération : la Cour de cassation affine sa jurisprudence

Après avoir jugé que la structure de la rémunération résultant d'un accord collectif dénoncé constitue un avantage individuel acquis que l'employeur ne peut modifier sans l'accord du salarié, la Cour de cassation précise aujourd'hui qu'un engagement unilatéral de l'employeur contraire à ce principe ne peut avoir force obligatoire.

La Cour de cassation a jugé dans un arrêt du 1er juillet 2008 que la structure de la rémunération résultant d'un accord collectif dénoncé constitue, à l'expiration du délai de survie, un avantage individuel acquis qui est incorporé au contrat de travail des salariés employés par l'entreprise à la date de la dénonciation, l'employeur ne pouvant la modifier sans l'accord de chacun de ces salariés, quand bien même il estimerait les nouvelles modalités de rémunération plus favorables aux intéressés (

A la une

Epargne salariale : à quelles entreprises s'applique le forfait social de 8 % ?

L'instruction interministérielle du 18 février 2016 sur l'épargne salariale clarifie les conditions d'application du forfait social à taux réduit pour les entreprises de moins de 50 salariés qui mettent en place un accord de participation ou d'intéressement. Il ne peut s'appliquer qu'à un seul accord dans l'entreprise et les accords antérieurs au 7 août 2015 ne sont pas concernés.

Afin d'inciter les entreprises de moins de 50 salariés à mettre en place un dispositif d'épargne salariale, la loi Macron a fixé un un taux de forfait social réduit. Ainsi, depuis le 1er janvier 2016 les entreprises de moins de 50 salariés qui mettent en place volontairement un accord de participation ou d'intéressement peuvent bénéficier du forfait social de 8 % (au lieu de 20 %) pour les sommes versées au titre de l'un de ses dispositifs à compter de cette date (article L. 137-16 du code de la sécurité sociale).