Social

Site: 
Code VP: 
ACTUEL_EC_SOCIAL
Poids: 
0
Libellé: 
Home
Label du produit: 
Social
Menu - Groupes de thèmes: 
Liste des métiers: 
A la une (brève)

Les échéances Urssaf du mois de juin peuvent être reportées

Dans un communiqué diffusé sur son site le 28 mai, l'Urssaf reconduit au mois de juin les mesures exceptionnelles prises pour accompagner les entreprises qui rencontrent des difficultés de trésorerie dans le contexte de la crise sanitaire. 

A la une

"Une partie importante de la vie de l'entreprise est difficile à organiser sur Zoom"

"Pourquoi allons-nous au bureau ?" Si la question aurait pu sembler étrange il y a un an, elle prend tout son sens avec la crise sanitaire liée à la Covid-19 qui a amené un nombre important de salariés à télétravailler. CDB, conseil en aménagement d'espaces de travail sur le thème a organisé le 28 avril dernier un webinaire sur ce thème.

Le retour au bureau n'en finit pas d'alimenter les réflexions. CDB, expert de l'aménagement de l'espace au travail, a apporté sa pierre au débat le 28 avril dernier lors d'un webinaire autour du thème : "Pourquoi allons-nous au bureau ?". La crise sanitaire a en effet amené à repenser le travail sur site alors que de nombreux salariés ont pu réaliser de chez eux des tâches traditionnellement faites au bureau. Les DRH s'interrogent désormais sur la valeur ajoutée du travail réalisé in situ avec le développement du travail collaboratif et des échanges formels ou informels.

A la une

Les salariés autotestés positifs à la Covid-19 peuvent bénéficier d'indemnités journalières durant leur isolement

Un décret étend le régime des arrêts de travail dérogatoires aux assurés devant s'isoler en cas de résultat positif à un autotest de détection antigénique de la Covid-19. Il permet aussi d'indemniser les personnes en quarantaine de retour de pays ou territoires confrontés à une circulation particulièrement active de l'épidémie.

Un décret du 8 janvier 2021, pris en application de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2021, autorise le versement d'indemnités journalières de sécurité sociale (IJSS) et d'indemnités complémentaires de l'employeur dans des conditions dérogatoires pour certaines catégories de salariés se trouvant dans l'impossibilité de travailler en raison de l'épidémie de Covid-19.

A la une

Déconfinement : 78 % des salariés souhaitent pouvoir pérenniser le télétravail un à trois jours par semaine

Le septième baromètre d’Empreinte humaine, réalisé entre le 30 avril et le 19 mai 2021, révèle que beaucoup de salariés ne souhaitent pas revenir au bureau "comme avant". Ils aspirent à des nouveaux modes managériaux et à une organisation du travail favorisant le travail hybride.

Alors que le retour au bureau se profile avec la progression de la vaccination et l’assouplissement des règles sur le télétravail, prévu à partir du 9 juin, les DRH devraient être confrontés à un autre défi : les nouvelles attentes des salariés confinés depuis près d’un an. C’est ce que dévoile la septième étude réalisée par Opinon Way pour Empreinte humaine, société de conseil en qualité de vie au travail et en prévention des risques psychosociaux.

A la une

Les femmes sont autant rappelées pour un entretien d'embauche que leurs homologues masculins

En moyenne, la candidature d'une femme à un emploi obtient le même taux de réponses positives et négatives que celle d'un homme, selon la Dares. Ces résultats cachent des disparités liées au niveau de qualification de l'emploi : les femmes sont défavorisées sur les métiers moins qualifiés, mais favorisées sur les métiers d'encadrement, même dans des secteurs masculinisés.

Moins présentes sur le marché du travail, davantage soumises à un temps partiel subi, moins bien rémunérées : les femmes restent victimes d'inégalités au travail. Leurs difficultés à dépasser le plafond de verre ont même récemment conduit les députés à proposer l'instauration de quotas aux plus hauts postes des entreprises.

A la une

Le congé de reclassement peut être de 24 mois en cas de reconversion professionnelle

Un décret du 19 mai 2021 porte à 24 mois maximum la durée du congé de reclassement en cas de reconversion professionnelle. Le texte apporte également des précisions sur la rémunération du congé de reclassement lorsque le salarié a bénéficié d'un temps partiel dans le cadre d'un congé parental d'éducation ou de proche aidant par exemple.

Dans les entreprises de 1 000 salariés et plus, l'employeur est tenu de proposer, à chaque salarié dont le licenciement économique est envisagé, le bénéfice du congé de reclassement. Ce congé vise à favoriser le reclassement des salariés en leur permettant de bénéficier des prestations d'une cellule d'accompagnement, des démarches de recherche d'emploi et d'actions de formation destinées à favoriser son reclassement professionnel et, si nécessaire, d'un bilan de compétences.

A la une

Le principe d'égalité de traitement ne s'applique pas en matière de transaction

Un salarié ne peut invoquer le principe d'égalité de traitement pour revendiquer les droits et avantages d'une transaction conclue par l'employeur avec d'autres salariés. C'est ce que rappelle la Cour de cassation dans un arrêt du 12 mai 2021.

Dans cette affaire, ayant donné lieu à l'arrêt du 12 mai 2021, une société conclut avec les organisations syndicales représentatives un plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) prévoyant :

A la une

Rupture conventionnelle : l'indemnité conventionnelle de licenciement ne peut pas être écartée

Lorsqu'un accord collectif prévoit une indemnité conventionnelle de licenciement plus favorable que l'indemnité légale, elle doit être versée au salarié ayant conclu une convention de rupture, même si l'accord renvoie à l'indemnité légale pour certains motifs de licenciement.

Selon le code du travail, l'indemnité spécifique de rupture conventionnelle ne peut pas être inférieure à l'indemnité légale de licenciement. Cette indemnité est égale, pour tous les licenciements notifiés pour motif personnel ou pour motif économique depuis le 27 septembre 2017, à (articles L.1237-13 et R.1234-2 du code du travail) :

A la une (brève)

Activité partielle : le contingent de 1607 heures indemnisables est prorogé jusqu'au 31 décembre 2021

Depuis un arrêté du 31 mars 2020, le contingent d'heures indemnisables au titre de l'activité partielle a été porté de 1 000 à 1 607 heures par salarié et par an. Ce montant était jusqu'à présent applicable jusqu'au 31 décembre 2020. Un nouvel arrêté du 10 mai 2021 proroge ce contingent jusqu'au 31 décembre 2021.

A la une (brève)

Activité partielle : deux décrets sur les carrières longues et le fonds de solidarité vieillesse

Un décret du 14 mai 2021 paru au Journal officiel du 15 mai traite de la prise en compte des périodes d'activité partielle pour les droits à retraite des assurés éligibles au dispositif de retraite anticipée pour carrière longue et pour les assurés relevant de la caisse de sécurité sociale de Mayotte. Ces dispositions s'appliquent aux périodes d'activité partielle courant à compter du 1er mars 2020 pour les pensions de retraite prenant effet à compter du 12 mars 2020.