Activité partielle de longue durée : les périodes de confinement sont neutralisées
APLD : neutralisation des périodes de confinement
APLD : neutralisation des périodes de confinement
"Au total pour 2020, notre prévision de contraction annuelle du PIB français reste inchangée à 9 % par rapport à 2019". Tel est l'un des enseignements de la note de conjoncture diffusée hier par l'Insee.
Je relève trois points marquants en 2020. Premièrement, la crise liée à la Covid-19 a renforcé la légitimité du rôle de l’expert-comptable comme accompagnateur des entreprises, en dehors de la comptabilité et des déclarations. Il faut utiliser ce souffle là et transformer l’essai en 2021.
Cinq mois après son arrivée au ministère du travail, Elisabeth Borne, a rencontré avant-hier - en visioconférence - l'Association des journalistes de l'information sociale. L'occasion de faire le point sur les dispositifs visant à amortir la crise économique et les sujets au menu d'un agenda social très chargé.
Lionel Canesi a été élu hier président du Conseil supérieur de l'Ordre des experts-comptables (CSOEC) pour une période de deux ans. Vainqueur de ces élections, ECF a prévu que Jean-Luc Flabeau lui succède fin 2022 pour les deux années suivantes.
Qui aurait cru possible en début d’année ce que nous avons vécu et continuons à vivre, ces villes désertes pendant le confinement, la difficulté de salariés à vivre en milieu confiné et peu favorable, ces centaines de milliards d’euros injectées dans une économie subitement stoppée, ces grands perdants comme le tourisme, la restauration, l’évènementiel, le culturel, et que dire de l’aéronautique, ou encore l’angoisse justifiée de milliers de dirigeants pour l’avenir de leur entreprise et parfois pour la pérennité de leur patrimoine.
Les en-cours de crédit aux PME s'élèvent à 514,8 milliards d'euros à fin octobre, soit une hausse de 19,3 % sur un an, constate la Banque de France (cette statistique recense les crédits d'un montant unitaire supérieur à 25 000 euros).
La crise actuelle pousse les entreprises à recourir aux financements hybrides. Ils ont l'avantage de leur apporter de nouvelles ressources qui ne créent pas d'obligation de remboursement en numéraire et n'affectent pas leur gouvernance en ce sens qu'ils ne modifient pas leur capital social. Et parfois, ils sont assimilés à des fonds propres (voir l'article L 313-14 du code monétaire et financier), ce qui embellit les ratios d'endettement.