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Activités sociales et culturelles : il faut inclure la TVA pour le calcul du montant d'une dépense sociale

En cas de reprise par le comité d'entreprise de la gestion d'une activité sociale et culturelle assurée jusque-là par l'employeur, le comité est en droit de revendiquer le versement des sommes consacrées à cette activité. La Cour de cassation précise, pour la première fois, qu'il faut inclure au calcul de ces dépenses sociales la TVA afférente.

Le comité d'entreprise a le monopole de gestion des activités sociales et culturelles (ASC). Cela signifie qu'il assure, contrôle ou participe à la gestion de toutes les ASC établies dans l'entreprise (article L. 2323-83 du code du travail). Il en résulte que le CE peut à tout moment revendiquer la gestion des oeuvres sociales existantes jusque-là gérées par l'employeur, et pour ce faire, de réclamer les sommes qui y étaient affectées.

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Lutte contre la fraude fiscale : le contrôle et les sanctions se renforcent

L'administration contrôle de plus en plus les entreprises en s'attachant aussi à la situation patrimoniale de leurs dirigeants. Une nouvelle procédure spécifique sur place est envisagée en matière de TVA, ainsi qu'une vérification depuis les locaux du Fisc pour les petites entreprises. Parallèlement, le cumul des sanctions fiscales et pénales est rendu possible.

"Aujourd’hui, on se met en mesure d’avoir une appréciation globale des dossiers, y compris lorsqu’on contrôle une entreprise", indique Olivier Sivieude. "On contrôle [aussi] la situation patrimoniale globale des dirigeants", précisait le chef du service du contrôle fiscal à la DGFiP, la semaine dernière lors d’une conférence du congrès de l’Ordre des experts-comptables.

Paroles de

"Nous ne souhaitons pas que les employeurs soient submergés de questions fiscales de leurs salariés"

Retrouvez chaque semaine notre interview sur un sujet d’actualité. Maryvonne Le Brignonen, directeur du projet retenue à la source à la direction générale des finances publiques, apporte des précisions quant à la réforme du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu.
Les TPE et leurs conseils vont devoir investir dans des mises à jour de logiciel et dans du temps de travail supplémentaire pour collecter l’IR, la réforme prévoit-elle une aide pour les soutenir ?
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Les experts-comptables face au prélèvement à la source de l’IR

Entre les inquiétudes des employeurs, leurs clients, et les incertitudes quant au texte final de la réforme, les experts-comptables sont sur leurs gardes, prêts à appliquer la loi, mais agacés par le manque de temps pour accompagner le changement culturel induit.

Les chefs d’entreprise semblent voir d’un mauvais œil la mise en place du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu. Un sondage réalisé au mois d’avril par Ifop pour KPMG et CGPME (1) révélait un manque d’information et une inquiétude face à l’impact de la réforme : 55 % estimaient alors que cet impact serait négatif sur les relations avec les salariés et 66 % sur l’organisation interne de l’entreprise.

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La transparence fiscale se développe

Le décret mettant en oeuvre le reporting fiscal pays par pays pour les grandes entreprises a été publié samedi. Le projet de loi Sapin 2 devrait acter l'introduction d'un reporting en open data d'ici 2018. Parallèlement, la Commission européenne a confirmé sa volonté de mettre en place une obligation de déclaration préalable par les conseils fiscaux des montages abusifs.

Le reporting fiscal des multinationales pays par pays est enfin opérationnel. Le décret fixant les modalités de l’obligation déclarative a été publié samedi au Journal officiel.

A la une (brève)

Taxe dividendes : pas d'exonération pour les groupes d'intégration fiscale

Vendredi, les Sages ont jugéjugé

A la une (brève)

La phrase de la semaine

"Au Chili, chaque fois que vous envoyez une facture [électronique], il y a une sorte de copie électronique qui se retrouve dans le logiciel de l’administration fiscale et vous ne pouvez pas déduire la TVA si votre facture n’a pas été enregistrée dans le système".

Stéphane Buydens, OCDE (conseiller politique TVA), à Bruxelles lors du congrès de l'Ordre des experts-comptables.

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Fiscalité des entreprises : le PLF pour 2017 joue sur les taux

Le projet de loi de finances pour 2017, présenté hier en conseil des ministres, prévoit une baisse du taux de l'impôt sur les sociétés (IS), d'abord, pour les PME, une hausse du taux du Cice et un renforcement du dernier acompte d'IS versé par les grandes entreprises. Le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu figure également dans ce texte.

Toutes les PME pourraient bénéficier d’un taux d’impôt sur les sociétés (IS) de 28% en 2017. C’est ce que prévoit le projet de loi de finances (PLF) pour 2017, présenté hier matin en conseil des ministres. Ce taux réduit s’appliquerait dans la limite de 75 000 euros de bénéfice (article 6).

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Une facture imprécise peut justifier un droit à déduction de la TVA

En principe, une facture qui ne comporte pas un libellé assez précis pour permettre d’identifier la nature et l’étendue des services et la période au cours de laquelle ils ont été rendus ne peut justifier un droit à déduction.

A la une (brève)

Les nouvelles tendances de la fiscalité dans la zone OCDE

"Les réformes fiscales lancées en 2015 ont pour principal objectif de stimuler la croissance et se caractérisent par une baisse des impôts sur les revenus du travail et sur les bénéfices des sociétés, estime une étude de l'OCDE.