Portail EC

A la une

Comment le cabinet comptable doit-il s’organiser pour faire de l’accompagnement au recrutement

A la recherche de nouvelles missions, l’expert-comptable peut développer une offre d’aide au recrutement pour ses clients. Voici 4 clés pour y parvenir.

L’accompagnement au recrutement peut-il représenter une nouvelle mission pour les experts-comptables ? Peut-être, même si à défaut d’offres ou de budget, les patrons des TPE / PME gèrent eux-mêmes leur embauches ou se tournent vers d’autres prestataires. Le Baromètre trimestriel «Trésorerie, investissement et croissance des PME/TPE» de Bpifrance Le Lab et Rexecode publié en mai 2018 confirme néanmoins la difficulté qu’ont les petites entreprises à recruter et qu’il s’agit d’un frein à leur croissance.

A la une (brève)

Vers la fin du verrou de Bercy ?

Le projet de loi contre la fraude fiscale a été adopté en première lecture au Sénat dans la nuit de mardi à mercredi. Avec en son sein un amendement du rapporteur sur le texte, Albéric de Montgolfier (LR ; Centre-Val de Loire) visant à « supprimer le verrou de Bercy » (voir article 13 de la petite loi) .

A la une

Préparer le déploiement d’un nouveau logiciel dans le cabinet comptable

Lors du congrès ECF 2018, Fabrice Heuvrard et Jonathan Cohen, tous deux experts-comptables et Cac, ont animé des ateliers dédiés au système d’information. Ils sont revenus, entre autres, sur les questions à se poser avant de déployer un nouvel outil dans le cabinet et sur les avantages à intégrer des innovations.

Le système d’information (SI) du cabinet d’expertise comptable s’est largement complexifié en intégrant, outre la production (comptabilité et paie), une GED, des outils de communication, mais aussi les données liées à la restitution des livrables, des tableaux de bord, etc. Mais "l’outil magique permettant d’imputer automatiquement et correctement toutes les écritures tout en intégrant la révision autonome n’existe pas", observent les conférenciers. D’où la nécessité d’agréger plusieurs solutions et de les connecter entre elles.

A la une (brève)

Le rapport de Cambourg reste secret

Contrairement à ce que le cabinet de Bruno Le Maire nous avait indiqué, le rapport de la commission de Cambourg, chargée de formuler au gouvernement des propositions pour l’avenir de la profession de commissaire aux comptes, n'a pas été publié hier. "À la suite de la réunion de la ministre de la justice et du ministre de l’économie et des finances avec les commissaires aux comptes, il a été décidé de poursuivre le travail en commun sur la base du rapport de la commission de Cambourg", nous fait savoir le service de presse du ministre de l'économie et des finances.

A la une

Auto-liquidation des cotisations provisionnelles des TNS : l’expérimentation débutera en janvier 2019

A titre expérimental, dès janvier 2019, les TNS pourront accéder à un service en ligne leur permettant de calculer et de régler leurs cotisations et contributions provisionnelles à partir de leurs propres estimations de revenus mois après mois.

La loi de financement de la Sécurité sociale pour 2018 a prévu d’offrir, à titre expérimental, aux TNS qui le souhaitent un service en ligne leur permettant de s’acquitter au mois le mois de leurs cotisations et contributions provisionnelles dont ils établissent eux-mêmes le montant en fonction de leur activité.

A la une

Le contrôle des systèmes de caisse en voie d’extension

Le Sénat veut donner aux douanes des droits identiques à ceux de l’administration fiscale pour vérifier que les assujettis à la TVA utilisent un système de caisse conforme. Cela concernerait notamment le contrôle de la TVA à l’importation et des contributions indirectes.

Depuis le 1er janvier, les agents de l’administration fiscale (DGFip) disposent d’un nouveau moyen pour contrôler que les entreprises déclarent toutes leurs recettes. Ils peuvent s’assurer de la conformité de leurs systèmes de caisse (article L 80 0 du livre des procédures fiscales).

A la une (brève)

Le rapport de Cambourg publié aujourd'hui ?

Présidée par Patrick de Cambourg, président de l'autorité des normes comptables, une commission a été constituée pour formuler au gouvernement des propositions pour l’avenir de la profession de commissaire aux comptes. Le rapport qu'elle a rédigé doit être publié aujourd'hui.

A la une

Sorti de la bourse, Cegid veut passer dans la division supérieure

L’éditeur de logiciels de gestion veut doubler son chiffre d’affaires d’ici 2021. Les clients experts-comptables seront-ils impactés par cette stratégie ambitieuse ?

Cegid aime les défis. Le dernier en date est ambitieux, celui de doubler son chiffre d’affaires d’ici 2021 — précisément, l'objectif est de dépasser 700 millions d'euros. Affiché hier lors d'une manifestation organisée à Paris, ce pari coïncide avec des changements importants chez l’éditeur de logiciels et en premier lieu celui de l’arrivée de nouveaux propriétaires. En 2016, les discrets fonds d’investissement Silver Lake — dont la maison mère était domiciliée en 2016 aux Îles Caïmans — et Altaone Capital ont pris le contrôle du groupe créé par Jean-Michel Aulas.

A la une

Indemnisation des maladies professionnelles : les règles ont changé depuis le 1er juillet

En application de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2018, le point de départ de la maladie professionnelle est désormais la date de la première constatation médicale de la maladie, et non plus la date du certificat médical reliant la maladie à l'activité professionnelle du patient. Cette disposition est entrée en vigueur le 1er juillet.

Depuis le 1er juillet, les règles ont changé en matière d'indemnisation des maladies professionnelles. La règle est issue de la loi du 30 décembre 2017 de financement de la sécurité sociale pour 2018 (article 44).

Nouveau point de départ de la maladie professionnelle

Le point de départ de la maladie professionnelle est désormais la date de la première constatation médicale de la maladie, et non plus la date du certificat médical reliant la maladie à l'activité professionnelle du patient.

A la une (brève)

Audit légal et révision coopérative sont incompatibles

Un commissaire aux comptes ne peut exercer une mission de révision coopérative au sein d'une coopérative dont il certifie les comptes, indique le Haut conseil du commissariat aux comptes dans un avis. Et ce, même si le professionnel est agréé en qualité de réviseur coopératif.