En France, le sujet de la retraite occupe aussi l’actualité comptable. Car les normes nationales, tant pour les comptes sociaux que pour ceux consolidés, présentent une particularité, celle de ne pas obliger les entreprises ou les groupes à constituer des provisions pour les indemnités de fin de carrière, pour les retraites chapeaux et autres engagements de retraite. Seule une information en annexe est rendue légalement obligatoire (voir ci-dessous l’article L 123-13 du code de commerce).

Tous les yeux étaient rivés ce mercredi vers les cours d'appel de Paris et de Reims. Le 25 septembre était en effet la date annoncée pour le délibéré dans plusieurs affaires portées devant ces deux juridictions mettant en jeu la conventionnalité du barème d'indemnités de licenciement sans cause réelle et sérieuse. Un enjeu d'importance car ce sont les premières cours d'appel à se prononcer.

"Est-ce qu'il est envisageable qu'un jour la mission de commissaire aux comptes devienne une compétence spécialisée des experts-comptables ?" La question est tombée comme un cheveu sur la soupe, hier, lors d'une conférence du congrès annuel de l'Ordre des experts-comptables.

"Le véritable problème [de l’intelligence artificielle] n’est pas le chômage de masse. C’est comment on va former 50% de la population active à utiliser ces technologies pour être capable de combiner la puissance émotionnelle d’un humain avec la capacité d’exécution logique de la machine". Hier, Rand Hindi a livré une lecture optimiste de l’intelligence artificielle, qu’il définit comme "la faculté de reproduire un comportement humain dans une machine".

L'attractivité et la fidélisation des collaborateurs demeurent la bête noire de la profession comptable.