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Déclaration en DSN d'un refus d'un CDI après un CDD

Dans une fiche consigne n° 2695, le site Net-entreprise détaille les modalités et les règles de valorisation de la rubrique "Refus de la proposition d'un CDI suite à CDD ou contrat de mission - S21.G00.62.021". 

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Les députés suppriment le plafond d'exonération d'IR sur les heures supplémentaires

Les heures supplémentaires sont actuellement exonérées d'impôt sur le revenu dans la limite de 7 500 euros par an. L'Assemblée nationale a voté la suppression de ce plafond... contre l'avis du gouvernement et de la commission des finances.

Travailler plus pour gagner plus. Ce slogan utilisé par Nicolas Sarkozy lors de la campagne présidentielle de 2007 plane sur l'Assemblée nationale.

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La violation du secret professionnel justifie un licenciement pour faute grave

Dans deux arrêts du 11 septembre 2024, la Cour de cassation rappelle l’importance du respect du secret professionnel par les salariés, quels que soient leur passé disciplinaire et leur ancienneté dans l’entreprise. La violation de ce secret par le salarié d’une caisse d’assurance maladie peut justifier son licenciement pour faute grave.

Selon l’article L 161-29 du code de la sécurité sociale, le personnel des organismes d’assurance maladie est soumis au secret professionnel dans les conditions et sous les peines prévues par le code pénal. Dans le cadre du droit du travail, comment l’employeur doit-il dès lors réagir en présence d’une violation de ce secret par les salariés ? L’ancienneté et le passé disciplinaire sans reproche des intéressés peuvent-ils atténuer la gravité de la faute ?

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Smic : revalorisation anticipée au 1er novembre

Le salaire minimum interprofessionnel de croissance (Smic) est revalorisé de façon anticipée au 1er novembre 2024 alors que cette revalorisation aurait dû intervenir au 1er janvier 2025. Avec une hausse de 2 %, le Smic horaire brut s’établira à 11,88 € en métropole à partir du 1er novembre (décret n° 2024-951).

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PLFSS 2025 : en commission, les députés refusent de réformer les allègements de cotisations patronales

Le projet du gouvernement de diminuer globalement les allègements de charges sociales patronales se heurte à l'opposition de députés. La commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale a supprimé ce dispositif qui figure dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025.

Le gouvernement et la patronat se livrent un bras de fer sur le coût du travail. La raison : le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025 prévoit, via son article 6, de renchérir globalement les charges sociales patronales comme nous le détaillons ci-dessous. Mais la commission des affaires sociales de l'Assemblée nationale, sensible aux arguments du patronat, a rejeté mardi dernier cette orientation. Elle a adopté 10 amendements tous destinés à supprimer cette réforme souhaitée par l'exécutif.

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La phrase de la semaine

"La réalité de terrain des plus petites entreprises a été totalement ignorée et les objectifs de simplification et de réduction des coûts ont échoué", affirme l'U2P suite à l'annonce par Bercy de l'abandon du volet facturation pour le f

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Le gouvernement souhaite supprimer la réduction d'impôt aux adhérents d'OGA ayant opté pour le régime réel

L'exécutif a déposé un amendement au projet de loi de finances pour 2025 dans l'objectif de faire disparaître dès 2025 la réduction d'impôt aux adhérents d'OGA ayant opté pour le régime réel (cf article 199 quater B du CGI). Selon lui, l'effet incitatif de cette mesure (réduction d'impôt pour frais de comptabilité et d'adhésion à un OGA) n'est pas démontré.

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Finance/comptabilité : faible hausse d'ensemble des salaires en 2024, selon Robert Half

Les salaires en finance et comptabilité augmentent de 0,7 % en 2024 contre 5,2 % l’an dernier, relève une étude de Robert Half. Avec toutefois de fortes disparités : les gestionnaires de paie et les trésoriers ont bénéficié d'une hausse respectivement de 11,5 et 11 %.

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Une crise sanitaire n’est pas un cas de force majeure lorsque l’activité partielle est mise en place

Dans un arrêt rendu le 18 septembre 2024, la Cour de cassation estime que la force majeure ne permet pas de justifier la rupture anticipée d’un contrat à durée déterminée, dès lors que la mise en place de l’activité partielle ne rendait pas irrésistible la crise sanitaire.

L'article 1218 du code civil dispose qu'il y a force majeure en matière contractuelle lorsqu'un événement échappant au contrôle du débiteur qui ne pouvait pas être raisonnablement prévu lors de la conclusion du contrat, et dont les effets ne peuvent pas être évités par des mesures appropriées, empêche l'exécution de son obligation par le débiteur. Il en ressort trois critères constitutifs que sont l'extériorité, l'imprévisibilité et l'irrésistibilité.

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TVA : le gouvernement veut supprimer le RSI et créer un nouveau régime réel

L'exécutif souhaite faire disparaître le régime simplifié d'imposition en matière de TVA et donner naissance à un régime réel basé sur des déclarations trimestrielles. Pour en bénéficier, le chiffre d'affaires à ne pas dépasser, majoré des acquisitions taxables, serait le même quelle que soit l'activité du redevable. Ce nouveau dispositif, porté par un amendement à examiner dans le cadre du PLF pour 2025, entrerait en vigueur en 2027.

"Le présent amendement a pour objet de remplacer le régime simplifié d’imposition (RSI) prévu en matière de taxe sur la valeur ajoutée (TVA) par un régime déclaratif trimestriel plus simple pour les déclarants, plus efficace pour lutter contre la fraude et ouvert à davantage de petites et moyennes entreprises". C'est ainsi que le gouvernement présente l'objectif du nouveau régime de TVA qu'il veut mettre en vigueur le 1er janvier 2027.