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A la une (brève)

La tolérance dans le paiement des cotisations Urssaf est reconduite en 2018

Le site Internet de l'Urssaf a annoncé, le 4 janvier 2018, que la tolérance mise en place pour les employeurs de 50 salariés et plus pratiquant le décalage de paie serait reconduite en 2018. Les entreprises dépassant ce seuil d'effectif et qui paient les salaires du mois M entre le 11 et le 20 du mois M+1 doivent normalement produire la DSN le 15 du mois M+1.

A la une

La composition de l'instance et les crédit d'heures du comité social et économique sont fixés

Le décret du 29 décembre 2017 prévoit le nombre d'élus ainsi que les crédits d'heures associés pour le comité social et économique (CSE). Il précise aussi les modalités de report ou de partage des heures de délégation ainsi que la manière de les décompter. Des nouvelles dispositions sont à signaler notamment sur le calcul des heures de délégation des salariés en forfait jours.
Nombre d'heures de délégation
Le protocole d'accord préélectoral peut modifier le nombre d'élus ou le volume des heures de délégation. À défaut d'accord sur le sujet,  voici le nombre et le volume des heures de délégation des membres du CSE :

 

Effectif de l'entreprise  (nombre de salariés)

A la une

Le compte professionnel de prévention est finalisé

Deux décrets publiés fin décembre apportent la touche finale au dispositif du compte professionnel de prévention. L'un de ces décrets fixe le seuil de sinistralité au-delà duquel les entreprises auront, au 1er janvier 2019, l'obligation d'ouvrir les négociations sur la prévention des risques. En outre, les thèmes obligatoires à aborder durant ces négociations sont complétés.

Le fonctionnement du compte professionnel de prévention (C2P) ne sera pas drastiquement modifié en comparaison de son prédecesseur, le compte personnel de prévention de la pénibilité (C3P). Deux décrets finalisant le dispositif ont été publiés le 28 décembre 2017, en application de l'ordonnance du 22 septembre 2017 dédiée à la prévention des risques professionnels.

A la une

Notification du licenciement : l'employeur peut utiliser des lettres-type

Un décret du 29 décembre 2017 fixe les modèles de lettre de licenciement que l'employeur peut utiliser pour notifier les licenciements. Six modèles sont ainsi prévus selon la catégorie de licenciement envisagé.

Pas de modèle Cerfa finalement, mais des lettres-type que l'employeur peut utiliser, s'il le souhaite. Le gouvernement a publié ce week-end le décret qui fixe les six modèles de lettre-type selon la nature du licenciement, dont nous avions publié la version provisoire :

A la une

Paie : ce qui change au 1er janvier 2018

Hausse de la CSG et suppression des cotisations maladie et chômage, changement en matière de cotisations sociales, de versement transport... Panorama de ce qui a changé pour les services paie depuis le 1er janvier.

Nous récapitulons les changements pour les services paie à compter du 1er janvier 2018.

Hausse de la CSG et suppression des cotisations salariales maladie et chômage

La loi de financement de la sécurité sociale pour 2018 du 30 décembre 2017, publiée ce week-end au Journal officiel, prévoit trois changements au 1er janvier 2018 :

A la une (brève)

Les exonérations de cotisations en hausse en 2016

Selon un communiqué de l'Acoss, les exonérations de cotisations sociales progressent en 2016 pour la troisième année consécutive. Les exonérations représentent 27,8 milliards d’euros, soit 8,2% du total des cotisations dues aux Urssaf (hors cotisations chômage et AGS). Sur un an, le montant global des exonérations progresse ainsi de nouveau (+ 2,6%), après + 3,1 % en 2015.

Les allègements généraux, qui représentent 78 % de l’ensemble des exonérations en 2016, progressent de 4 % en 2015. Ils augmentent de 2,4% en 2016.

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RH : ce qui change au 1er janvier 2018

Les ordonnances modifient des pans entiers du code du travail. Un grand nombre de ces dispositions nécessitaient des mesures réglementaires pour entrer en vigueur au plus tard le 1er janvier. Certains des décrets attendus ont été publiés la semaine dernière et ce week-end. D'autres dispositions des réformes précédentes (loi Travail, loi Sapin 2) entrent en vigueur le 1er janvier.

Si certaines des mesures des ordonnances sont entrées en vigueur dès leur publication au Journal officiel, fin septembre, comme le barème d'indemnités ou les nouvelles règles relatives au télétravail (qui sont toutefois en cours de modification dans le cadre du projet de loi de ratification), la plupart des mesures nécessitent des mesures réglementaires pour entrer en vigueur. Certains décrets ont été publiés fin décembre et ont ainsi permis l

A la une (brève)

Précisions sur le remplacement de la DADS-U par la DSN

Dsn-info.fr, site internet dédié à la déclaration sociale nominative (DSN) fait le point sur le remplacement de la déclaration automatisée des données sociales unifiée (DADS-U) par la DSN en 2018. Il rappelle que la DADS-U peut être remplacée par la DSN dès 2018 sur les salaires 2017, sous réserve que la gestion des droits sociaux des salariés soit assurée.

Le site récapitule sous la forme d'un tableau les actions à mener selon la situation du déclarant :

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Les délais et conditions dans lesquels les motifs du licenciement peuvent être précisés sont fixés

Un décret applicable aux licenciements prononcés à compter du 18 décembre 2017 fixe le délai dans lequel le salarié peut demander à l'employeur de préciser les motifs de son licenciement. Ce texte prévoit la forme que doit revêtir cette demande et encadre le délai et la forme de la réponse éventuelle de l'employeur.

L'employeur se doit d'être extrêmement rigoureux quant à l'énoncé des griefs invoqués à l'encontre du salarié dans la lettre de licenciement. Ces motifs fixent en effet ce qu'on appelle les limites du litige. Jusqu'à aujourd'hui, impossible, une fois le licenciement notifié, d'y apporter des modifications. Le juge statuait sur ces motifs et sur rien d'autre.

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Contestation de l'avis d'inaptitude : les nouvelles règles au 1er janvier 2018

Un an après la mise en place de la réforme de la procédure de contestation de l'avis d'inaptitude issue de la loi Travail, des correctifs sont apportés par un décret publié ce week-end : suppression de la désignation d'un médecin expert, extension du recours aux éléments non médicaux...

Depuis le 1er janvier 2017, pour contester l'avis d'inaptitude (ou d'aptitude) ou toute autre mesure émise par le médecin du travail, le salarié ou l'employeur doit saisir le conseil de prud'hommes en la forme des référés, dans les 15 jours à compter de leur notification. Mais face aux difficultés pratiques de mise en oeuvre, cette nouvelle procédure a fait l'objet de correctifs dans l'ordonnance du 22 septembre 2017 consacrée à la prévisibilité et la sécurisation des relations de travail. Un décret était nécessaire pour que ces correctifs entrent en application.