Un quart des salariés en chômage partiel total aurait été amené à poursuivre son activité à la demande de l'employeur
Alors que le ministère du travail s’attelle à détecter les fraudes au chômage partiel, l’enquête de Technologia, un cabinet spécialisé dans la prévention des risques professionnels, mené auprès de 2 620 élus du personnel et responsables syndicaux, donne une première idée de l’ampleur des abus. Selon ce sondage, plus de 50 % des personnes interrogées considèrent que "des demandes d'activité interdites ont eu lieu".