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A la une

Le point sur les aides à l'embauche pour les PME

Nous proposons un tableau synthétique permettant de comparer les deux aides de 4000 euros : l'aide à l'embauche dans les PME et l'aide à l'embauche d'un premier salarié.

Les TPE-PME ont fait l'objet de deux mesures financières temporaires afin de les inciter à embaucher :

A la une

10% des ruptures conventionnelles sont des départs "d'opportunité"

Le Centre d'études de l'emploi (CEE) a cherché à approfondir les motivations sous-jacentes à la conclusion d'une rupture conventionnelle. Bien souvent, ce mode de rupture s'apparente, dans ses motivations, à une démission ou à un licenciement. Mais dans 10% des cas, c'est l'existence même du dispositif qui a créé l'occasion de quitter l'entreprise

A la une

Inaptitude au travail : un nouveau risque de contentieux ?

Depuis le 19 août 2015, en cas d'inaptitude d'origine professionnelle, si l'avis d'inaptitude mentionne que "le maintien du salarié dans l'entreprise serait gravement préjudiciable à sa santé", l'employeur pourrait être dispensé de son obligation de reclassement. Mais des questions restent en suspens.

La loi du 17 août 2015, dite loi Rebsamen, a introduit un nouveau motif de licenciement, en cas d'inaptitude d'origine professionnelle : l'employeur peut désormais rompre le contrat de travail si l'avis du médecin du travail mentionne expressément que "tout maintien du salarié dans l'entreprise serait gravement préjudiciable à sa santé" (article L. 1226-12 du code du travail).

Mais de nombreuses questions se posent sur la portée de cette disposition :

Synthèses

Perco : ce qui change en 2016

La loi Macron a modifié certaines règles relatives à l'épargne salariale. Pour s'appliquer, certaines de ces dispositions nécessitaient des décrets qui sont parus fin 2015 et d'autres entraient en vigueur le 1er janvier 2016. Nous revenons en détail aujourd'hui sur les modifications apportées au Perco (plan d'épargne pour la retraite collectif).

 

Suppression de la contribution spécifique patronale sur l'abondement de l'employeur

La contribution spécifique au fonds de solidarité vieillesse de 8,2 % à la charge de l'employeur sur l'abondement dépassant 2 300 € par an et par salarié est supprimée pour les abondements sur le Perco versés depuis le 1er janvier 2016 (article L. 137-5 du code de la sécurité sociale supprimé).

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Intéressement et participation : ce qui change en 2016

La loi Macron a modifié certaines règles relatives à l'épargne salariale. Pour s'appliquer, certaines de ces dispositions nécessitaient des décrets qui sont parus fin 2015 et d'autres entraient en vigueur le 1er janvier 2016. Nous revenons en détail aujourd'hui sur les modifications concernant la participation et l'intéressement.
Harmonisation des dates de versement de l'intéressement et de la participation

Jusqu'à la loi Macron, l'intéressement devait être versé au plus tard le dernier jour du 7e mois suivant la clôture de l'exercice au titre duquel les droits sont nés et la participation au plus tard le dernier jour du quatrième mois.

A la une

Entretien préalable : trois représentants de l'employeur, c'est trop !

La direction ne saurait envoyer trois de ses représentants à l'entretien préalable au licenciement d'un salarié sans dévoyer cette réunion de son objet de conciliation. Une telle pratique constitue une irrégularité de la procédure de licenciement qui doit être indemnisée.

Étape incontournable de la procédure de licenciement, l'entretien préalable équivaut à une procédure de conciliation. Il doit permettre au salarié menacé d'exposer sa version des faits, de se défendre dans l'espoir d'éviter le renvoi. Afin de limiter les risques d'intimidation et donc d'échec de la conciliation, le nombre de représentants de l'employeur à l'entretien doit être limité, insiste la Cour de cassation par un arrêt du 20 janvier.

A la une

Le gouvernement lance un simulateur pour calculer le coût d'une embauche

Le Premier ministre a dévoilé avant-hier la quatrième vague de mesures de simplification pour les entreprises. Pour les aider à déterminer le coût réel d'une embauche, un simulateur est notamment proposé.

Quatre-vingt dix nouvelles mesures de simplification ont été présentées avant-hier par le Premier ministre. Plusieurs concernent plus particulièrement le droit du travail.

A la une

Pas d'intrusion dans la messagerie personnelle du salarié

L'employeur qui accède aux mails envoyés et reçus depuis la messagerie personnelle de son salarié viole le secret des correspondances. Et ce, même si ces mails ont été rédigés sur le poste de travail.

Dans un arrêt fondateur, la Cour de cassation a consacré en 2001 le droit du salarié "même au temps et au lieu de travail, au respect de l'intimité de sa vie privée". L'employeur ne peut dès lors sans violation de cette liberté fondamentale prendre connaissance des messages personnels émis par le salarié et reçus par lui grâce à un outil informatique mis à sa disposition pour son travail. C'est ce que confirme avec vigueur la Cour de cassation dans un arrêt du 26 janvier.

A la une

De nouvelles modalités pour remplir l'obligation d'emploi des travailleurs handicapés

La loi Macron a introduit de nouvelles possibilités afin de permettre aux entreprises de remplir leur obligation d'emploi de travailleurs handicapés. Un décret du 28 janvier détaille leurs modalités de prise en compte. Elles concerneront les déclarations d'emploi au titre de l'année 2016 effectuées en 2017.

Une entreprise concernée par l'obligation d'emploi de travailleurs handicapés dispose de plusieurs options pour la remplir. La loi Macron prévoit trois nouvelles mesures pour permettre aux entreprises de réaliser cette obligation :

A la une

La rupture anticipée du CDD peut résulter d'un avenant au contrat initial

La Cour de cassation précise que la rupture anticipée du CDD par accord des parties peut résulter d'un avenant au contrat initial, qui modifie le terme du contrat pour l'avancer, dès lors que le consentement du salarié n'est pas vicié.

L'employeur et le salarié peuvent d'un commun accord décider de rompre le CDD avant son terme (article L. 1243-1 du code du travail).