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PLF 2020 : aménagement de la trajectoire de baisse du taux normal d'IS des grandes entreprises

Le projet de loi de finances pour 2020 fixe le calendrier de la baisse du taux normal d’IS des sociétés dont le chiffre d’affaires est supérieur à 250 millions d'euros.

Initialement fixée par la loi de finances pour 2017, la trajectoire de baisse du taux normal de l’IS a connu quelques ajustements décidés par la loi de finances pour 2018, puis dans le cadre de la loi portant création d’une taxe sur les services numériques et modification de la trajectoire de baisse de l’IS du 24 juillet 2019 (

A la une (brève)

Modalités de régularisation des acomptes d'IS 2019 du fait du maintien du taux normal d'IS à 33,1/3 % pour les grandes entreprises

Initialement fixé à 31 %, le taux normal d’IS pour les exercices ouverts entre le 1er janvier et le 31 décembre 2019 a finalement été maintenu à 33,1/3 % pour les entreprises dont le chiffre d’affaires est au moins égal à 250 M€ (loi du 24 juillet 2019, art. 2).

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PLF 2020 : mise en conformité avec le droit européen des retenues et prélèvements à la source applicables aux sociétés non-résidentes

Le projet de loi de finances pour 2020 entend mettre en conformité avec le droit européen les retenues et prélèvements à la source applicables aux sociétés non-résidentes, après que la jurisprudence européenne et le Conseil d'État ont pointé les atteintes de plusieurs dispositifs à la liberté de circulation des capitaux et à la liberté d'établissement.

L’article 12 du projet de loi de finances pour 2020 vise à tirer les conséquences de l’arrêt du 22 novembre 2018 (CJUE, 22 nov. 2018, aff. C-575/17) par lequel la Cour de justice de l’Union européenne a jugé que, s’agissant de la retenue à la source sur les dividendes (CGI, art.

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Ces pays où l’administration déploie la facture électronique

Au Chili, en Australie, en Italie, en Espagne ou encore au Pérou, l'administration fiscale encourage, voire impose, d’émettre des factures électroniques. Voici un petit tour d’horizon.

A terme, la facturation électronique va se généraliser en France. Le gouvernement espère l’imposer dans les relations inter-entreprises entre 2023 et 2025. C’est en tous cas l'objectif que laisse entendre le projet de loi de finances pour 2020. Car ce système n’est pour l’instant obligatoire que lorsqu’une entreprise travaille avec le secteur public — à l’exception des TPE qui ne seront concernées que le 1er janvier 2020. Qu’en est-il à l’étranger ?

A la une (brève)

Précisions sur le droit à l'erreur en matière fiscale

L'article 5 de la loi n° 2018-727 du 10 août 2018 pour un État au service d'une société de confiance instaure une réduction de moitié du montant de l'intérêt de retard lorsque le contribuable de bonne foi dépose spontanément une déclaration rectificative et paie les droits correspondants.

A la une (brève)

Vers un nouveau cadre européen pour lutter contre le blanchiment d'argent ?

La Commission européenne considère qu'il existe des lacunes, juridiques notamment, en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (voir les rapports publiés en juillet dernier).

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Droit à l'erreur fiscal : comment bénéficier de la réduction de l'intérêt de retard

L'administration fiscale commente le dispositif permettant à tout contribuable de bonne foi de réduire le montant de l'intérêt de retard dû lorsqu'il régularise spontanément sa situation et paie les droits correspondants.

En cas de non-paiement d'une créance fiscale dans le délai légal, le contribuable de bonne foi bénéficie d'une réduction des intérêts de retard s'il dépose une déclaration rectificative. Cela concerne n'importe quel impôt dû. Ce changement est issu de la loi pour "un Etat au service d'une société de confiance" (ESSOC) et s'applique aux déclarations déposées depuis le 11 août 2018.

A la une (brève)

IFI et PFU : un impact limité sur les inégalités ?

France Stratégie vient de livrer une première exploration de l'impact des réformes de la fiscalité du capital que sont le prélèvement forfaitaire unique (PFU) et le recentrage de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF) sur l'impôt sur la fortune immobilière (IFI).

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Un projet gouvernemental alimente la crainte d'un Big brother fiscal

L'exécutif veut offrir aux administrations fiscale et douanière le droit de traiter informatiquement les contenus librement accessibles publiés sur les plateformes internet. La Cnil (commission nationale de l'informatique et des libertés) est réservée sur ce dispositif, contenu dans le projet de loi de finances pour 2020, qui pourrait donner lieu à un système de surveillance de masse disproportionné.

"Des questions inédites en matière de protection de données à caractère personnel", "une mise en œuvre susceptible de porter atteinte à la liberté d’opinion et d’expression", "une collecte générale préalable de données", "un changement d’échelle significatif"… La Cnil multiplie les mises en garde à l’égard d’un projet du gouvernement. Et ce, d'autant plus qu’elle a dû se prononcer dans l’urgence.

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Le gouvernement veut réduire le travail déclaratif des entreprises

L’exécutif prévoit pour l’année prochaine un pré-remplissage des revenus des travailleurs indépendants dans la déclaration 2042 et en 2021 la disparition de leur déclaration sociale annuelle. De plus, un portail fiscal et social unique pour les entreprises pourrait voir le jour en 2022.

Le principe dîtes-le nous une seule fois va-t-il devenir réalité ? Le gouvernement l’espère en ce qui concerne certaines informations que les travailleurs indépendants doivent fournir aux administrations fiscale et sociale. Avec une première étape dès l’année prochaine.