Fiscalité

Site: 
Code VP: 
ACTUEL_EC_FISCALITE
Poids: 
0
Libellé: 
Home
Label du produit: 
Fiscalité
Menu - Groupes de thèmes: 
Liste des métiers: 
A la une

Précisions sur l'abattement de taxes foncières applicable aux boutiques et magasins

Dans ses commentaires au BOFiP, l'administration fiscale précise les locaux éligibles à ce nouvel abattement, ainsi que l'articulation entre cet abattement facultatif et les régimes existants d'exonération de TFPB.

L’article 102 de la loi de finances pour 2018 (L. fin 2018 n° 2017-1837, 30 déc. 2017 : JO, 31 déc.) introduit un nouvel abattement facultatif applicable à la taxe sur les propriétés bâties (TFPB) en faveur de certaines boutiques et magasins et tire les conséquences de cet abattement sur la taxe sur les surfaces commerciales (Tascom).

A la une

Le PLF pour 2019 prévoit de réformer l’impôt sur les sociétés

Nouveau système de déductibilité des charges financières, possibilité de renoncer à l’option exercée pour l’IS, modification du régime de l’intégration fiscale, lutte contre les montages abusifs principalement fiscaux… Dévoilé hier, le projet de loi de finances pour 2019 contient plusieurs mesures relatives à l’IS. Certaines engagent un peu la France sur la voie d'une éventuelle convergence européenne de l'assiette.

La France n’avait guère le choix que d’aménager son régime d’IS sur plusieurs sujets. Principale raison : la directive européenne destinée à renforcer la lutte contre l’évasion fiscale (directive 2016/1164), dite Atad, doit être transposée au plus tard le 31 décembre 2018.

A la une (brève)

Un écart de TVA de 150 milliards d'euros dans l'Union européenne

Les Etats membres de l'Union européenne ont perdu 147,1 milliards d'euros de recettes de TVA en 2016, selon une nouvelle étude de la Commission européenne. Soit une diminution de 10,5 milliards d'euros par rapport à l'année précédente. Le manque à gagner passe de 13,2 % à 12,3 %.

A la une

Intermédiaires fiscaux, plateformes, prix de transfert : les députés musclent le projet de loi anti-fraude

Lors de l'examen en première lecture du projet de loi relatif à la lutte contre la fraude, l'Assemblée nationale a adopté plusieurs amendements. Notamment pour transposer la directive européenne sur les intermédiaires fiscaux, dispenser les plateformes numériques de certaines obligations, et renforcer le droit de communication des organismes de sécurité sociale.

Les intermédiaires, dont les experts-comptables, qui conseillent des montages fiscaux frauduleux seront sanctionnés par une amende fiscale d'au moins 10 000 euros. Un montant porté, s’il est supérieur, à 50 % des revenus tirés de la prestation en cause fournie au contribuable.

A la une

PAS : obligations des entreprises pour les versements au titre de l'intéressement et de la participation

Dans le cadre du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu, l'employeur devra déclarer les sommes non bloquées qu'il verse immédiatement à ses salariés. Cependant, si le versement passe par un établissement financier, des échanges d'informations - dont les modalités pratiques restent à préciser - sont à prévoir.

Les entreprises qui pratiquent l’intéressement et/ou la participation ont des obligations supplémentaires dans le cadre du futur prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu. 

A la une (brève)

Statu quo sur les futures sanctions des conseillers complices de fraude fiscale

En séance publique, l'Assemblée nationale a rejeté tous les amendements visant à renforcer le futur arsenal répressif applicable aux intermédiaires qui conseillent des montages fiscaux frauduleux.

A la une

L'Assemblée nationale renforce l'efficacité du contrôle fiscal inopiné

Après un contrôle surprise dans les locaux de l'entreprise, l'administration fiscale pourra comparer la copie des fichiers qu’elle a conservée aux fichiers originaux et l'opposer au contribuable, selon un amendement adopté lundi par les députés lors de la discussion du projet de loi relatif à la lutte contre la fraude.

Certaines entreprises seront peut-être bientôt moins tentées de modifier leurs fichiers comptables ou commerciaux après un contrôle inopiné de l’administration fiscale. C’est en tout cas l’objectif poursuivi par l'Assemblée nationale qui vient d’adopter un amendement en ce sens, en première lecture du projet de loi relatif à la lutte contre la fraude. Les députés veulent ainsi colmater une brèche dans le dispositif actuel.

A la une (brève)

Le gouvernement veut transposer par ordonnance la directive sur les intermédiaires fiscaux

Par un amendement proposé au projet de loi de lutte contre la fraude — actuellement en première lecture en séance publique à l’Assemblée nationale —, le gouvernement demande une habilitation à procéder par voie d’ordonnance pour transposer la directive européenne sur la déclaration obligatoire de certains schémas fiscaux .

A la une

Sanctions des conseillers complices de fraude fiscale : des députés chargent la barque

Des amendement proposent de rendre les intermédiaires concernés solidairement responsables du paiement des majorations prononcées à l'encontre du fraudeur, et d'étendre le futur dispositif de sanctions aux manquements passibles d'une majoration de 40 %.

Décidément, les intermédiaires qui conseillent des montages fiscaux frauduleux sont dans le collimateur des pouvoirs publics.