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Faire une sieste au travail peut constituer une faute grave

La cour d'appel de Bordeaux décide que constitue une faute grave le fait pour un pompier affecté à la sécurité d'un aéroport d'avoir interrompu volontairement son travail pour faire une sieste.

S'endormir sur son lieu de travail peut-il être considéré comme une faute et justifier un licenciement ? La cour d'appel de Bordeaux répond à cette question par l'affirmative dans un arrêt du 17 février 2016.

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Projet de loi Travail : quel sera le contenu du texte que le 49.3 permet de faire adopter sans vote ?

Le conseil des ministres a autorisé hier le gouvernement à utiliser la procédure du 49.3 pour faire adopter sans vote le projet de loi Travail. Mais quelle version du texte serait-elle ainsi adoptée ? Eléments de réponse.

Lundi soir, lors de l'examen de l'article 1er du projet de loi Travail, la ministre du Travail avait demandé la "réserve des votes". Autrement dit, la discussion se déroulait, avec de vives critiques émanant des bancs de la gauche et de la droite, mais sans que les articles et les amendements soient votés, le gouvernement craignant de ne pas avoir de majorité. Un député avait alors trouvé la formule résumant l'impasse de ces échanges : "Nous avons passé plusieurs heures à débattre sans voter et ensuite nous voterons sans débattre".

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Rupture de l'essai : le délai de prévenance contractuel plus favorable s'applique

La Cour de cassation précise que pour rompre la période d'essai l'employeur doit respecter le délai de prévenance prévu par le contrat de travail, si celui-ci est plus favorable que le délai de prévenance légal.

Depuis l'entrée en vigueur de la loi de modernisation du marché du travail en juin 2008, l'employeur qui ne souhaite pas donner suite à la période d'essai doit respecter un délai de prévenance (articles L.

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"En France, la loi étouffe le dialogue social"

Alors que la discussion autour du projet de loi Travail bat son plein, Bertrand Martinot, économiste et ancien délégué général à l'emploi et à la formation professionnelle, propose dans un ouvrage rédigé avec Franck Morel, avocat au sein du cabinet Barthélémy, une réforme du droit du travail alternative.

La négociation d'entreprise est au cœur de vos propositions. Vous vous inscrivez dans la philosophie du projet de loi Travail. C'est une évolution devenue incontournable quelles que soient les opinions que l'on défend ?

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Deux aides financières pour aider les TPE à prévenir les troubles musculo-squelettiques sont créées

L'assurance maladie propose deux aides financières pour aider les entreprises de moins de 50 salariés à agir contre les troubles musculo-squelettiques (TMS) d'origine professionnelle : une aide de 25 000 € au maximum pour identifier les risques, et une aide d'une somme équivalente pour développer des actions dans l'entreprise.

Devant l'augmentation constante des troubles musculo-squelettiques (TMS), la branche accidents du travail - maladies professionnelles de l'assurance maladie a lancé le programme TMS Pros début 2014 afin d'accompagner spécifiquement 8 000 entreprises dans leur prévention. Ce programme propose aux entreprises d'agir en quatre étapes afin : d'identifier si elles sont concernées, déterminer les postes à risques, établir un diagnostic et mettre en place un plan d'actions.

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Les formations obligatoires financées par le compte personnel de formation ?

Avec la suppression du 0,9%, le Conseil national de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelles (Cnefop) s’alarme d’un transfert de financement des formations obligatoires du plan vers le compte personnel de formation. Une obligation cependant inhérente à l’employeur.

Un véritable tour de passe-passe. C’est l’une des pratiques auxquelles se livreraient certaines entreprises en quête d’optimisation financière, en transférant les formations obligatoires, traditionnellement financées par le plan de formation, vers le compte personnel de formation. Le procédé a été pointé par le Cnefop (Conseil national de l’emploi, de la formation et de l’orientation professionnelles), dans le rapport adopté le 12 avril, à l’unanimité par ses adhérents : partenaires sociaux, régions, Etat.

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Un label qualité pour les consultants-formateurs indépendants

Les prestataires individuels de formation disposent désormais d’un label ad hoc pour garantir la qualité de leur offre : le RP-CFI, c’est-à-dire l’inscription au Répertoire professionnel des consultants-formateurs indépendants (RP-CFI) après qualification. Objectif : être mieux identifiés sur le marché pléthorique de la formation.

Alors que les financeurs devront s’assurer, à partir du 1er janvier 2017, de la qualité d’un organisme avant de financer une action de formation pour se conformer aux exigences de la loi du 5 mars 2014, les grandes manœuvres se préparent.

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Projet de loi Travail : les points qui vont évoluer

Le rapporteur du projet de loi Travail, Christophe Sirugue, a détaillé devant l'Association des journalistes de l'information sociale (Ajis) les dispositions du texte susceptibles d'évoluer au cours de l'examen en séance publique qui démarre le 3 mai.
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Inspection du travail : les règles de mise en oeuvre de la nouvelle transaction pénale

À compter du 1er juillet 2016, l'administration du travail pourra transiger avec l'employeur pour les infractions à la législation sociale constituant une contravention ou un délit. Un décret du 25 avril 2016 détaille les modalités concrètes de cette transaction pénale.

Le second volet de la réforme de l'inspection du travail entrera en vigueur au 1er juillet prochain. À cette fin, l'ordonnance du 7 avril 2016 généralise la faculté pour l'administration du travail de prononcer des amendes administratives et introduit une procédure de transaction pénale. Un décret publié avant-hier au Journal officiel précise ces nouveautés.

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L'employeur ne peut pas consulter la messagerie personnelle du salarié

Dans un arrêt du 7 avril 2016, la Cour de cassation rappelle que l'employeur ne peut pas consulter la messagerie personnelle du salarié, quand bien même celle-ci serait accessible via l'ordinateur professionnel mis à la disposition du salarié par l'entreprise.

La Cour de cassation a fréquemment à se pencher sur des contentieux liés à la consultation par l'employeur de messageries de ses salariés. Et en la matière, tout n'est pas possible !